Ayoub compare Esteban à Dreyfus et demande à Valls des excuses publiques

Interrogé par l’humoriste controversé Dieudonné, Serge Ayoub, qui dirige le mouvement Troisième voie (étatiste et anti-immigration), n’hésite pas à comparer Esteban Morillo, “condamné pour ce qu’il est, pas pour ce qu’il a fait”, au capitaine Alfred Dreyfus. Tandis que le jeune skinhead dort toujours en prison (alors qu’il est désormais prouvé qu’il n’a fait que se défendre face à une agression préméditée – cf. par exemple le protège-dents de Clément Méric) celui que Dieudonné surnomme ironiquement “un cadre de la haine” en profite pour demander des excuses publiques à Manuel Valls

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46 Comments

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  • mariedefrance , 31 juillet 2013 @ 21 h 34 min

    Merci encore monhugo.
    Je connais un cas : le fils d’une connaissance qui est dans un de ces cas.
    Je me suis permise cet aparté et vous remercie pour cette réponse.

    Il vous doit combien pour la consultation ?:-))

  • mariedefrance , 31 juillet 2013 @ 21 h 37 min

    C’est rassurant de savoir cela.
    merci Frédérique.

  • Centulle , 31 juillet 2013 @ 21 h 46 min

    Pour ma part je pense que Valls est otage des antifas qui sèmeraient la zizanie si Esteban était libéré trop tôt.
    De la même façon qu’il est l’otage des sarrasins avec qui il rompt le ‘ carème’.et inaugure des ‘ chapelles’ quand ce n’est pas des ‘ cathédrales’.
    Alors qu’avec les MLPT, Veilleurs, ONLR,Riposteurs laïques…. ( la France bien élevée) il ne risque rien. Aucune vitrine cassée, pas une voiture brûlée….
    Seul lui coûte les frais de déplacement des CRS et autres Gardes Mobiles.

  • Jak , 31 juillet 2013 @ 21 h 59 min

    Valls, otage ?
    Non, il est complice.
    Ce terroriste d’extrême gauche ne rêve que d’une chose : détruire la France.
    Et, comme par hasard, en ce moment, la presse maçonnique commence à l’encenser de tout côté : Manuel Valls ici, Manuel Valls, là.
    On essaie même de nous faire croire que ce Robespierre du 21e siècle – qui libère les racailles et remplit les prisons avec les victimes – serait populaire !
    Ayoub est bien gentil de lui demander des excuses. La place de Valls, elle est en prison.
    D’ailleurs, je mettrais ma main au feu qu’il y finira.
    Les crimes ne restent pas éternellement impuni, et ce gazeur d’enfants aura, un jour, son châtiment.

  • theofrede , 31 juillet 2013 @ 22 h 47 min

    il y a aussi un autre aspect que personne n’a abordé : en prison, Estéban est en sécurité, libéré, il serait à la merci d’un “vengeur”
    c’est peut-être aussi à ça qu’a pensé le juge d’instruction, qui semble être un honnête homme
    je pense que le plus important pour lui en ce moment est que sa captivité soit supportable; son avocat a-t-il le pouvoir d’y veiller ?
    c’est ce qu’ont fait pour Nicolas Bernard Busse des hommes politiques qui se sont mouillé; malheureusement, on peut craindre qu’aucun ne le fasse pour Estéban qui a contre lui d’être ouvrier, d’être étranger, et d’avoir osé résister à une attaque d’un sciences-poseur, ce qui ne peut lui attirer la sympathie d’aucun énarque, surtout socialiste
    le problème se posera de toute façon quand il sera innocenté (il n’a violé aucune des conditions jurisprudentielles, pourtant très favorables aux agresseurs, pour que soit reconnue la légitime défense)

  • monhugo , 1 août 2013 @ 0 h 07 min

    Selon que vous serez “bon” (vaut pour les “antifas”) ou “mauvais” (les autres), hélas…..

  • monhugo , 1 août 2013 @ 0 h 48 min

    Je l’ai évoqué, sans m’y attarder il est vrai, en indiquant les cas dans lesquels il est prévu de ne pas accorder la liberté sous contrôle judiciaire : “…protéger le mis en examen…” (“post” du 31, à 17 h 25). Cela semble plutôt s’adresser aux “balances” par exemple, ce qui n’a rien à voir ici. Morillo aurait-il besoin d’être protégé (en sachant que les détenus provisoires sont a priori dans un quartier spécial de la maison d’arrêt) ? Sous contrôle judiciaire, devrait-il redouter la vindicte des copains de Méric ? Valls n’a pas réclamé (et obtenu) pourtant la dissolution des “anti fas”, au rebours de “l’Oeuvre Française” et des “Jeunesses nationalistes” (Alexandre Gabriac), après le sabordage des JNR (Serge Ayoub) et de “Troisième Voie”, pareillement menacés. Le premier “groupuscule” se réclamait de Maurras et Brasillach – et propageaient donc “la haine et la violence” (sic). L’inculte Catalan, le garçon de café endimanché aux mouvements de menton et gesticulations de matamore, n’ayant évidemment aucune idée de ce que lesdits auteurs ont pu écrire, et a fortiori n’en ayant jamais lu la moindre ligne – les “intellos” de son service de documentation ont dû lui souffler ces noms. Je suggère pour faire bonne mesure des autodafés, comme ceux de 33 en Allemagne – pour l’heure, les livres de Brasillach ou Maurras (ou Léon Daudet, ou d’autres) sont en vente libre, et même sur le très gay Amazon (l’argent n’ayant pas d’odeur, même celui des “fascistes” nostalgiques). Magnifique pays que le nôtre, où l’on dissout des “groupuscules” pour délit de “sale gueule” nationaliste, en profitant d’un fait divers (l’affaire Méric) où l’auteur n’a fait que se défendre, et n’avait aucun rapport avec lesdites associations, sans songer un instant à dénoncer la “haine et la violence” où elles se trouvent, et donc à interdire les bons “groupuscules”, ceux d’extrême-gauche, à forte capacité de nuisance. Il est vrai que ce sont des cousins du pouvoir en place, et que “la famille, c’est sacré” !

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