Cette statistique a été établie par l’Observatoire national des violences en milieu de santé (ONVS). Dans son rapport, l’organisme sous tutelle du ministère de la Santé précise que les motifs sont variés: 58,5% des agressions concernent la prise en charge des patients, 12,1% une trop forte alcoolisation des patients et 11,6% un temps d’attente jugé trop long. Ces actes sont souvent classés sans suite : sur les plus de 14 500 signalements enregistrés en 2014, seuls un peu plus de 2 200 ont donné lieu à un dépôt de plainte :