Clara Dupont-Monod : sa première interview sur France Inter choque les féministes !

Rue 89, Le Point, Les Inrocks et Cie ont du mal à s’en remettre : l’entretien mené lundi matin sur France Inter avec Anne-Cécile Mailfert, porte-parole d’Osez le féminisme, par Clara Dupont-Monod (qui remplace Pascale Clark) est “d’un autre temps”, affirment-ils. “Notre seul espoir : que l’intégralité de l’interview soit en fait à prendre au second degré.” Tout ça parce que la journaliste a osé poser des questions qui fâchent et ironiser sur le féminisme : “Osez le féminisme, c’est un féminisme qui est contre les hommes ou tout contre les hommes ? »« Donc c’est un féminisme qui ne compte pas émasculer les hommes ? C’est une bonne nouvelle, je vois tout le monde qui se détend dans le studio…”

L’entretien est à revoir infra :

Lire aussi :
> Réhabiliter le seul vrai féminisme : le féminisme traditionaliste

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58 Comments

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  • OLRIC , 27 août 2013 @ 18 h 05 min

    Bonjour mariedeFrance,
    je suis d’accord avec vous, pour ma part j’ai tenu une
    minute et cinquante quatre secondes.

  • France , 27 août 2013 @ 18 h 18 min

    Chère Marie, vous avez eu la chance d’être entourée d’hommes qui vous ont aidée et protégée.
    Malheureusement, c’est assez rare aujourd’hui. Ce serait plutôt le contraire.

  • mariedefrance , 27 août 2013 @ 20 h 00 min

    Je ne veux pas faire du Zola mais il faut bien reconnaitre que l’idée de “couple” a été dévoyée depuis 68 au moins.
    C’est réac, ringard et bourgeois pour certains.

    On couche aujourd’hui dès l’adolescence alors qu’à cet âge, je n’avais sans doute pas encore embrassé un garçon.

    On se quitte comme on jette un kleenex sans essayer de lutter ensemble pour justement consolider ce “UN” que représente LE couple.

    Mais c’est certainement vrai : non seulement il faut oser choisir ses critères mais aussi avoir un peu de chance.
    Il faut s’apprécier, flirter, se désirer, se désirer fort et enfin s’aimer tant tous les sens du terme.

    Je n’ai aucune formule chimique.
    L’odeur de la peau, la douceur d’une chevelure, un caractère plaisant, une vision commune de l’avenir….
    Il y a des jours où je pense que les mariages de raison ne devaient pas tous être négatifs.

    Il n’y a décidément pas de formule !:-))

    (Désir + Confiance ) peut être….

  • mariedefrance , 27 août 2013 @ 20 h 06 min

    Fallait oser !:-))

  • vilistia , 27 août 2013 @ 20 h 15 min

    Va t-il rester des hommes..des vrais ?

  • monhugo , 27 août 2013 @ 20 h 58 min

    Les “vrais” hommes ? C’est-à-dire ?

  • charlotte , 28 août 2013 @ 12 h 28 min

    Que les féministes commencent par se cultiver et aller lire l’histoire de France, alors seulement elles seront en capacité de parler des femmes. La période la plus noire pour les femmes en France, c’est l’époque post-révolutionnaire. C’est aussi notre époque via l’avénement du foyez mono-parental et du divorce qui autorise les hommes à abandonner femmes et enfants à leur triste sort. Et ça, ce sont bien les féministes qui l’ont mis en place et développé.
    Comment les femmes seules peuvent-elles financer de belles études pour leurs enfants, prendre le temps de les accompagner pour leur faire découvrir mille et une choses qui leur permettront de progresser culturellement et intellectuellement ?

    Le féminisme est une négation du féminin et de ses multiples talents spécifiques.

    Oui, j’assume le repassage et ça me gonfle ! Mais oui, je n’ai franchement aucune envie de voir mon mari collé sur sa table à repasser. Pas sexy pour 2 sous ! Le repassage n’a jamais empêché mon cerveau de diplômée de grande école de tourner! Et les compétences acquises dans mes études, je les ai sacrément mises au service de l’éducation de mes enfants dont je me suis en grande partie occupée personnellement. Et les résultats sont là. Une belle carrière de maman !
    Le féminisme n’est pas au service de la femme, mais de son nombril. Il suffit de voir le silence de Madame Belkacem sur la question des femmes voilées, qui sont pourtant réellement sous la domination d’une culture qui idôlatre le MALE, il semble que cela ne lui pose aucun problème et qu’elle préfère s’occuper de transformer nos écoles en temple du sexisme à combattre.
    A quand le traitement hormonal imposé à tous au nom de l’égalité.

    Je suis une femme, et, vous savez quoi, j’adore ça ! Et j’adore qu’un homme soit DIFFERENT ! De grâce, laissez-lui sa testostérone !

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