Une femen (femme en latin d’après la célèbre latiniste C. Fourest ⸮) a récemment profané la cathédrale de Strasbourg. On notera la légère disproportion entre le nombre de femen et celui de journalistes (euphémisme).
L’AGRIF a d’ors et déjà déposé une plainte ; on peut espérer une condamnation, car comme le note Le Salon Beige, contrairement au cas de Notre-Dame de Paris, en Alsace-Moselle, où le Concordat est toujours en vigueur, le droit pénal condamne fermement ces actes :
“Celui qui aura causé un scandale en blasphémant publiquement contre Dieu par des propos outrageants, ou aura publiquement outragé un des cultes chrétiens ou une communauté religieuse établie sur le territoire de la Confédération et reconnus comme corporation, ou les institutions ou cérémonies de ces cultes ou qui, dans une église ou un autre lieu consacré à des assemblées religieuses, aura commis des actes injurieux et scandaleux, sera puni d’un emprisonnement de trois ans au plus.”
Sans trop se leurrer non plus…
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