Madame, Monsieur,
Je me permets de vous écrire ces quelques lignes, car il y a quelques mois, vous aviez eu la gentillesse de relayer mon film sur votre site.
Mais voila, aujourd’hui comme beaucoup d’artistes, et autres dissidents intellectuels, je suis traduit en justice (par la Licra), dans mon propre pays, LA FRANCE, pour mon film :
« Chameau Pas d’Amalgame »
Si, je vous écris aujourd’hui, c’est qu’il est de mon devoir d’artiste et d’esprit libre, de signaler à tous les médias à contre courant, le vent de censure qui s’abat sur la France et sur ses artistes.
Ceci n’est rien d’autres qu’une énième tentative de faire taire, de museler, et d’intimider, tous ceux qui offrent un autre son de cloche, à la musique putride de nos médias traditionnels…
Par ailleurs, depuis la sortie de mon film, je me suis « amusé » à compter le nombre d’attentats Islamistes… en Europe.
Hier à Paris, Londres, Hambourg et aujourd’hui je découvre le visage du suspect de Barcelone.
Et stupeur ! Personne n’est stupéfié !
Nous attendions tous, consciemment ou inconsciemment, ce visage que nous connaissons par cœur, sous toutes les coutures…
Continuons à penser que l’ISLAM ne pose pas de problème en France et en Europe, qu’il est compatible avec les valeurs dites « occidentales », qu’il est bienveillant, qu’il n’est pas conquérant et qu’il est PACIFIQUE.
Continuons avec cette politique suicidaire qui nous amène au chaos et au sang.
Continuons, à travers notre déni du réel, notre merveilleuse tolérance à l’intolérance, notre renoncement à la France éternelle, celle de nos aïeux.
Continuons avec nos bougies à la con, nos slogans « Refugees Welcome » et nos frontières passoires. Continuons notre métissage organisé, notre africanisation insensée, notre hallalisation démesurée…
Continuons sur le chemin de l’abdication totale, définitive et sans condition.
Peut être, qu’au final, Michel Onfray, Eric Zemmour, Alain Finkielkraut, Georges Bensoussan, Waleed al-Husseini, Salman Rushdie, Renaud Camus et tant d’autres… avaient vu juste.
Peut être que, notre civilisation, notre culture, notre identité ne méritent pas de survivre. Car comment pourrions nous expliquer à nos enfants, qu’on a pu résister, lutter et écraser les Nazis… mais nous n’avons rien pu faire contre les cafards.
Gérard Boyadjian
Cinéaste et Patriote
Lu sur Ripose Laîque