FN : Gollnisch ne veut pas “sacrifier Jean-Marie Le Pen sur l’autel du politiquement correct”

Bruno Gollnisch, membre du bureau politique et membre de droit du comité central du FN, député Européen, était l’invité politique de Patrick Roger ce jeudi sur Europe 1. “Sur le plan politique, je ne vois pas du tout l’intérêt de sacrifier Jean-Marie Le Pen sur l’autel du politiquement correct, a-t-il expliqué. Parce que dans ce domaine, on n’en fera jamais assez.” :

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54 Comments

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  • Louis Marie , 21 août 2015 @ 19 h 28 min

    Il parle trop tard…

  • Trahi , 21 août 2015 @ 20 h 33 min

    Vous serez sans aucun doute très surpris aux prochaines élections

  • dissident , 21 août 2015 @ 22 h 32 min

    “l orientation a gauche permet d faire des voix”, oh si peu et permet aussi de perdre tant de voix a droite qui manquent au deuxieme tour!

  • jejomau , 21 août 2015 @ 22 h 49 min

    TIENS, pour se marrer….. Enfin, si on peut encore

    https://www.youtube.com/watch?v=zVhpT9tZa9A

  • Guy Marquais , 22 août 2015 @ 8 h 22 min

    Cette scission à la tête du FN est regrettable, mais il n’est nullement souhaitable qu’elle se propage parmi les sympathisants de ce mouvement!
    Seule l’union fait la force, ne l’oublions pas,Que les querelles des chefs restent à leur niveau….ils sont rompus à ce jeu….pas nous !

  • Tonio , 22 août 2015 @ 9 h 22 min

    @Marino
    Cambadélis, DSK, Dray, Kouchéa, Désir et j’en passe se remplissent les poches, volent tout ce qu’ils peuvent dans les caisses de la MNEF, des associations subventionnées, des finances régionales, et ils sont réélus, deviennent ministres, députés, conseillers généraux, membres de la commission européenne: ceux-là on les garde au chaud pour la plus grande édification morale du bon peuple (de gôche) , bien sûr!
    Le Pen dit trois mots qui dans le contexte d’un entretien avaient parfaitement leur place, et voilà les chiens de la propagande socialiste de lui sauter dessus , de le déchirer au sang; il est vrai qu’à gauche quand on ne veut pas entendre évoquer ses propres crimes, lâchetés et autres turpitudes qui ont tout de même coûté 100 millions de morts, (Le Pen : combien de morts ?) par pure idéologie, on se contente d’attaquer l’adversaire et de missionner les journalistes à la botte, ou plutôt à la gamelle, pour qu’ils entonnent les cris de l’anathème!
    Quels beaux messieurs, tout de même…

  • Tonio , 22 août 2015 @ 9 h 28 min

    La poche celle de derrière pour ses propres défauts
    et de devant pour les défauts d’autrui .

    La Fontaine désignait déjà exactement les défauts du PS et de ses larbins communistes!

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