“Carrément honte d’être Français”

C’est Guillaume Maurice qui le dit! Cet amuseur de France Inter,  de « Si tu écoutes, j’annule tout », passe son temps d’antenne à se moquer des politiquement incorrects quand ce n’est pas carrément à les insulter, avec une prédilection pour les catholiques. Comme le précise le site de Libération: “L’humoriste, qui renouvelle le genre du micro-trottoir, s’amuse à propager les valeurs de la gauche écolo-radicale “… “Ecolo revendiqué, tendance végétarienne, le Bourguignon de 35 ans n’en a pas tout à fait conscience, mais il est porté aux nues par la gauche de la gauche. Celle-ci, d’habitude plus agacée par France Inter, en a presque fait son comique officiel. Sur les réseaux sociaux, elle partage à tout-va ses vidéos, qui raillent chaque jour les riches, le CAC 40, l’argent-roi, les droites et le PS. Souvent, elles dépassent le demi-million de vues sur Facebook. Le propos de Meurice est tellement marqué politiquement que ses comparses de l’émission Si tu écoutes, j’annule tout, les pourtant pas très droitiers Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek, le font passer à l’antenne pour le gaucho de service.”

Tout comme nous, Meurice » s’étonne de la «liberté totale» que lui laisse la radio, lui qui a mis fin à sa collaboration avec Canal + après une seule chronique en janvier 2015, lorsque la chaîne lui a interdit de passer un dessin de Charb à l’antenne. «A France Inter, je ne peux rien faire de plus ressemblant à ce que je suis, parce que je suis à ma place de petit emmerdeur, qui fait chier sans avoir l’air d’y toucher. Je ne fais aucun compromis avec moi-même.»

Dans cette récente chronique, dont l’introduction est d’une vulgarité totale, Guillaume Meurice, évoque sa rencontre avec “Aref, réfugié afghan qui a traversé au moins dix pays pour rejoindre le pays des Lumières et de Cyril Hanouna…”  et le pousse à se plaindre de la France, etc, pour conclure qu’il a carrément honte d’être Français”!

Et d’oublier d’ajouter mais carrément heureux d’être France Inter car vous le rémunérez  4000 euros par mois pour  une chronique de trois minutes, cinq soirs par semaine.

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