Farida Belghoul : “Ce sont les catholiques sur Internet qui m’ont informée du danger de l’idéologie du genre”

Eric Martin
17 février 2014
Latest Update: 17 février 2014 14 h 22 min
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Ce 14 février, Farida Belghoul, à l’origine de la Journée de retrait de l’école (JRE), est interrogée par Martial Bild, le directeur de TV Libertés. Selon elle, “les enfants sont aujourd’hui en danger dans les écoles publiques”.

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acacia , 18 février 2014 @ 13 h 28 min
pour être socialiste il faut avoir tué son père et sa mère, pour sensément être un homme nouveau “genre”
Goupille , 18 février 2014 @ 13 h 36 min
Oui… Malheureusement des flots de sang ont coulé, depuis, sous les portiques de Tipaza, et la Rome antique et les acteurs du mare nostrum se sont retrouvés convertis de force, ou réfugiés dans des djebels inaccessibles.

Alors, oui, tissons des liens historiques avec un passé disparu.
Mais il y a un gros obstacle, bien vivant, lui.
Y compris dans nos murs.
Goupille , 18 février 2014 @ 13 h 39 min
Ceux qui sont hâtés d’en finir, sans doute.
Comme ils seront suicidés.
ranguin , 18 février 2014 @ 13 h 41 min
Ouep docteur !
la Mésange , 18 février 2014 @ 14 h 38 min
Il semble en effet qu’il y ait pas mal “d’islams” totalement différents les uns des autres qui occupent le terrain…
Je préfère (cela va sans dire) les mahométans comme F. Belgoul, aux puristes du coran qui veulent nous massacrer, mais je ne puis m’empêcher de remarquer la violente incohérence entre sa pensée (et son comportement) et la “religion” à laquelle elle appartient.
Ces gens ne sont que contradiction, en somme.
elgfin , 18 février 2014 @ 14 h 59 min
Cette dame est inspirée. Bravo
penelope , 18 février 2014 @ 15 h 55 min
vouloir nous faire admettre et reconnaitre l’homosexualité est déjà une anomalie mais en faire l’apologie dans les écoles est le summum de l’absurdité, c’est en quelque sorte vouloir faire de chaque enfant un homo, une lesbienne, ne pas les rejeter, soit, cela nous importe peu leur façon de se comporter mais nous obliger à accepter ce qui n’est que du vice de leur part, non, je m’y refuse, qu’ils vivent selon leur bon vouloir mais ne demande pas l’absolution.