Election de Donald Trump : le mea culpa du “New York Times”

Le mea culpa du "New York Times"

Reste à espérer les mêmes excuses de la part de L’Immonde, de L’Aberration et de tout cette même clique. Mais là, on peut toujours rêver…

Related Articles

3 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • François2 , 15 novembre 2016 @ 11 h 09 min

    NdF aurait pu dire en quelques mots EN FRANCAIS en quoi consistait ce mea culpa.

  • Cassandre , 15 novembre 2016 @ 15 h 23 min

    A vous de débusquer le mea culpa ! Voilà une traduction SGDG mais que je pense fidèle (fidèle à la formulation très “diplomatique” de la chose…):
    Lorsque la plus grande histoire politique de l’année a atteint un point culminant dramatique et inattendu mardi soir, notre salle de rédaction a viré sur place et a fait ce qu’il a fait pendant près de deux ans – couvrir l’élection 2016 avec agilité et créativité.
    Après une élection si erratique et imprévisible, il y a des questions inévitables: la non-conventionalité de Donald Trump nous a-t-elle amenés, nous et d’autres sources d’information, à sous-estimer sa base parmi les électeurs américains? Quelles forces et tensions en Amérique ont conduit à cette élection et ses conséquences polémiques? Plus important encore, comment un président qui reste une figure largement énigmatique gouvernera-t-il réellement quand il entrera en fonction?
    Alors que nous réfléchissons sur le résultat énorme, et sur les mois de reportages et de sondages qui l’ont précédé, nous avons pour objectif de nous recentrer sur la mission fondamentale du journalisme de Times. C’est d’écrire sur l’Amérique et le monde honnêtement, sans peur ni faveur, s’efforçant toujours de comprendre et de refléter toutes les points de vue politiques et les expériences de vie dans les histoires que nous vous apportons. C’est aussi d’avoir le pouvoir de demander des comptes, de façon impartiale et inflexible. Vous pouvez compter sur le New York Times pour apporter la même équité, le même niveau de contrôle, la même indépendance dans notre couverture de l’information sur le nouveau président et son équipe.
    Nous ne pouvons pas produire le journalisme indépendant et original pour lequel nous sommes connus sans la fidélité de nos lecteurs. Nous voulons profiter de cette occasion, au nom de tous les journalistes du Times, pour vous remercier de cette fidélité.

  • Cassandre , 15 novembre 2016 @ 15 h 32 min

    Ca y, est, déjà ?! Vous l’avez trouvé, vous l’avez identifié, ce mea culpa, dans le texte en français ?!
    Je me souviens d’un Américain me décrivant les mots à dire tout simplement quand on se trompe, si on est sincère. six mots(6) :
    “I am sorry, I was wrong”
    Pas besoin de traduction, là, hein ?!) C’est facile à comprendre ?
    Là, il vous vient l’idée que le souci des directeurs, dans leur bafouille, c’est surtout d’éviter les désabonnements des lecteurs outrés d’avoir eu une information si biaisée et aveugle. Ils ânonnent leur principes, mais rien ne laisse penser qu’ils vont se mettre à les appliquer.
    La formulation “to hold the power to account” fait même penser qu’ils veulent continuer de demander des comptes à Trump…

Comments are closed.