Même les LGBT censurent l’affiche «L’inconnu du lac» !

Ils n’assument pas complètement. Les quelques militants LGBT qui se sont rassemblés mercredi devant la mairie de Saint-Cloud pour dénoncer la décision du maire UMP de faire retirer des panneaux de la ville les quatre affiches pornographiques – on y voit au second plan un homme faire une fellation à un autre homme – du film porno-gay L’inconnu du lac prenaient bien soin de ne pas montrer la scène en question aux journalistes qui couvraient leur manifestation.

Pour rappel, voici l’affiche du film :

Les militants LGBT, eux, préfèrent s’afficher seulement avec la scène de premier plan, qui montre deux hommes s’embrasser sur la bouche, ainsi que le montrent ces captures d’écran tirées du film réalisé mercredi par Line Press :

À chaque fois, la scène de fellation est coupée !

Il ne faudrait quand même pas passer pour des pervers favorables à ce type de scènes dans l’espace public…

Si même les militants homosexuels se mettent à censurer l’affiche L’inconnu du lac !

Lire aussi :
> Saint-Cloud : les extrémistes LGBT remettent ça / Rdv devant la mairie dimanche dès 13h30

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68 Comments

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  • Calcifer , 15 juin 2013 @ 16 h 43 min

    @Bang
    Qu’est ce que donc la normalité pour vous? Une réalité statistique? Un état imposé par quelqu’un? A partir du moment où un comportement n’entrave en rien l’épanouissement des individus de la société peut-on considérer qu’il s’agit d’un dérangement? Ne peut-on pas plutôt considérer que votre homophobie est une déviance? Que votre mépris est une dérangement? Votre choix de mot est en tout cas édifiant.

    L’homosexualité n’est pas un choix, la refuser n’a donc aucun sens. Pour le mariage, difficile de considérer plus légitime que l’évolution d’une institution qui a l’adaptation à la société dans ses veines.

  • Bang , 16 juin 2013 @ 0 h 38 min

    Le point de vue est celui de la nature et de la transmission de la vie sexuée. Cela passe par la rencontre d’un homme et d’une femme. Il en est ainsi et vous l’aurez remarqué. La rencontre sexuelle entre deux personnes de même sexe est une incongruité au regard de la reproduction, anormale au regard non pas tant de la société, mais surtout de la nature. Aucune société ne peut perdurer en allant à l’encontre de la nature ; on peut le regretter, mais il en est ainsi.

    Naît-on homosexuel ? Rien ne le prouve. Par contre, on sait qu’un parent défaillant vient troubler les représentations des modèles sexués et crée des orientations de compensation, qui sont hélas déviées. Mintenant, face à une pulsion, il y a toujours le choix d’y succomber ou pas. L’intelligence et la force de caractère peuvent aider à redresser ce que l’éducation a tordu. Car enfin, il faut bien comprendre que la place d’une verge ce n’est pas dans l’intestin et que la vocation du sperme, c’est de rencontrer des ovocytes et non pas d’aller suinter sur les parois du rectum, pour parler en des termes anatomiques.

  • monhugo , 16 juin 2013 @ 1 h 41 min

    Ma “compétence”, mon petit monsieur, ne se limite pas à traquer avec pertinence les impropriétés de langage et autres fautes d’orthographe – en l’espèce, vous m’avez servi sur un plateau une occasion très amusante de m’adonner à ce petit exercice récréatif (le coup de la “faute de frappe”, on ne me le fait pas). Je suis juriste, figurez-vous, et si je dis que “l’homoparentalité” n’est qu’un néologisme façon barbarisme orwellien, et ne correspond à rien, je suis fondée à l’affirmer. S’il ne suffit pas d’être géniteur/génitrice, il faut d’abord l’être pour devenir parent. Les enfants adoptés étant dans un modèle anthropologique, qui les assimile aux enfants biologiques, tout comme les enfants procréés par PMA, au bénéfice de couples dont la stérilité est médicalement constatée. Ceci pour prévenir des fines objections comme ce post-ci semblait en annoncer. Un beau-parent (ce qu’est le “conjoint” du même sexe) ne sera jamais un parent, au mieux un éducateur en second (et il existe en droit des mécanismes dédiés à cet égard). Par ailleurs, le post qui a déclenché votre ire commençait par aller dans votre sens sur l’accroche (présence de “l’homosexualité” dans le règne animal). Vous n’avez retenu que ce que votre idéologie primaire vous a permis de retenir ! Rien d’étonnant, en somme.

  • monhugo , 16 juin 2013 @ 1 h 45 min

    Votre propos me laisse à penser que ces mots , sans doute découverts récemment (“argutie”, et “aridité”) méritent de voir leur sens approfondi dans votre cas. Ceci effectué, tentez de faire des phrases où leur emploi serait opportun !

  • monhugo , 16 juin 2013 @ 1 h 53 min

    “Une” dérangement, vraiment ? C’est vrai : une “faute de frappe”, évidemment. Le mariage était une institution. Destinée à servir de cadre à la famille. Le mariage selon les idéologues relativistes au pouvoir n’est plus qu’un instrument de promotion de la sexualité. L’homosexualité, pourtant sexualité “différente”, selon une doxa pas si ancienne que cela dans le milieu ad hoc, se banalise, s’embourgeoise, devient norme, et donc recommandable. L’ Etat récompense l’inverti en paire qui ne rend aucun service à la collectivité en termes de remplacement des générations, au même titre que les père et mère de familles pouvant être nombreuses : mêmes avantages notamment successoraux. Intolérable !

  • monhugo , 16 juin 2013 @ 1 h 56 min

    Si l’homosexualité était irrésistible, que penser des bisexuels ? L’éducation me paraît tout aussi importante en matière “d’orientation sexuelle” que toute part prétendument innée en la matière.

  • Calcifer , 16 juin 2013 @ 3 h 51 min

    « Je suis juriste, figurez-vous »

    Vous m’en direz tant…

    Allons-y décortiquons votre misère intellectuelle, ça fait toujours plaisir. Votre légitimité à remettre en cause le terme d’homoparentalité ne repose que sur une notion restreinte de la parenté et donc à un référentiel absurde : celui dans lequel seuls les géniteurs peuvent se prétendre parent. La solution que retient le droit et que je soutient s’attarde sur une vision un tantinet plus complète qui s’attache aussi au lien affectif, à la relation d’épanouissement des individus et à la communauté de vie. D’où l’adoption plénière et autres subtilités juridiques qui, malgré votre formation semble vous avoir échappé. Ainsi considérons nous que la naissance ne fonde que des présomptions sur la parentalité, rien de plus. Si vous apprenez du jour au lendemain que vos parents ne sont pas, en réalité, vos géniteurs, vous ne les considérerez plus comme vos parents ?… Quel mépris digne d’une idéologie dégénérée qui ne doit pas s’étonner de s’éteindre aussi rapidement. Votre analyse clinique s’effondre car elle ne tient compte de la vérité sociale. D’ailleurs vous êtes forcés de signaler que c’est la stérilité médicalement constatée qui légitime la PMA… Une stérilité naturelle, tout comme celle dont souffre les couples homosexuels en somme. On ne peut pas modeler nature et société à son gré dans un modèle hybride qui se plierait aux positions opportunes des plus extrémistes. Un modèle anthropologique tel que la famille ou le mariage n’est en rien figé. Un juriste comme vous doit savoir que le consentement est de ces conditions qui n’ont pas toujours été justifiées et pourtant…. Il en est désormais de même pour le mariage entre personne du même sexe et c’est tant mieux. Le statut du beau parent n’est en rien comparable il s’impose postérieurement au schéma établie par une famille. Son statut peut changer mais pas dans les conditions que vous décrivez. Quant à mon idéologie rassurez vous elle se porte très bien, elle a remporté une victoire immense il y a quelques semaines ;-)

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