Même les LGBT censurent l’affiche «L’inconnu du lac» !

68 Comments

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  monhugo , 15 juin 2013 @ 13 h 31 min

  Juste, pour l’essentiel. Mais je suppose qu’il s’agit des “flamants” roses (“t” final). Les “Flamands” roses (“d” final), n’appartiennent pas au règne animal, mais au royaume de Belgique. Apprenez cependant (avec un seul “n”) que co-éducation ne veut pas dire filiation de fantaisie. “L’homoparentalité”, cela n’existe pas, ni chez l’animal, ni chez l’homme. Illettrisme, quand tu nous tiens….
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  monhugo , 15 juin 2013 @ 13 h 32 min

  Pour “Calcifer”, évidemment ! Les commentaires en réponse se placent de manière fantaisiste.
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  monhugo , 15 juin 2013 @ 13 h 58 min

  Evitons d’instrumentaliser ce qui ne doit pas l’être ! “L’ennemi” ne fait pas autre chose, ce que nous lui reprochons constamment, à juste titre. L’homosexualité a toujours existé, même si le terme date du 19ème siècle, et a appelé en réplique celui “d’hétérosexualité” – un des premiers exemples avec ces précautions de vocabulaire (bien plus que simples “précisions”) du “politiquement correct” ! Ce qu’il faut dénoncer n’est pas que ce choix de partenaire(s) du même sexe que soi soit licite (si uniquement adultes consentants concernés) – à la seule aune qui vaille en droit, le droit pénal (pas interdit = permis), mais que les lobbies relativistes aient obtenu que le doit CIVIL fasse de quelque chose de privé quelque chose d’officiel, de recommandable ! Le mariage des homos entre eux = l’homosexualité, c’est bien, avec la loi Taupira (taupe un jour, taupe toujours) ! Revenons à l’affiche, polémique du moment. Non réaliste (dessin – très important), non officielle (pour annoncer un film, de fiction – même pas un documentaire, comme “Les Invisibles” il y a quelques mois, à l’affiche montrant 2 femmes mûres totalement nues, de dos et enlacées, sans aucune réaction en ces lieux… cherchez l’erreur !), rare (pas vu une seule à Paris), pour une oeuvre artistique (vue personnellement) que l’on doit discuter sur ce registre (d’autant qu’il n’y est jamais, ni de près, ni même de très loin, question de droit, et de faux mariage entre invertis). “Obscénité”, “pornographie” etc. ? Tout ça pour une vague double silhouette à l’arrière-plan. Protéger les enfants ? Sérieusement ? Quel bambin, sans qu’un parent lui en fasse la remarque, aurait (à supposer que tombé dessus fortuitement) remarqué cette posture sexuelle ? Reste le baiser du premier plan. Quand les invertis peuvent se “marier”, protégés par le Code civil, qui peut y trouver légalement matière à critique ? La seule chose à faire : obtenir des politiques en “alternance” future qu’ils abrogent. Le combat est juridique, et donc politique. En aucun cas moraliste ! Et là, ce sera très, très difficile, car les “élites” sont toutes sur la même longueur d’ondes, “progressiste”, à “Droite” aussi.
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  monhugo , 15 juin 2013 @ 13 h 59 min

  Qu’est-ce qui est “bien vu” et “magnifique” ?
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  Calcifer , 15 juin 2013 @ 15 h 25 min

  Ha j’aime les personne chez qui seule la recherche des fautes d’orthographe constitue un argumentaire… Pauvre de vous. Notez par ailleurs que vous êtes les seuls à parler de co-éducation. Je considère que la parenté n’est pas qu’affaire d’ADN. Dans le cas contraire vous confondez parent et géniteur ce qui est extrêmement réducteur. Il n’a jamais été question de mentir à qui que ce soit, mais au contraire d’établir TOUTE la vérité. Ainsi il s’agit bien d’homoparentalité Allez vous acheter des arguments ma grande. Cela vous évitera peut-être de mépriser les couples stériles ou ménopausés et de ne pas vous focaliser sur une vulgaire faute de frappe qui ne parviendra jamais à dissimuler votre incompétence ;-).
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  Calcifer , 15 juin 2013 @ 15 h 27 min

  Quand on met une claque à votre argutie dégénérée vous vous contentez de répliquer par l’orthographe. Une faute de frappe ne suffira pas à dissimuler l’aridité de votre discours.
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  Bang , 15 juin 2013 @ 16 h 29 min

  Les homos sont sincères. Ils dysfonctionnent sincères, en tout cas pour nombre d’entre eux. Mais, faire croire que l’anormal est normal, et cela devient une déviance.
  Avec cette incapacité à reconnaître que le dérangement en est un, c’est toute la société qui est appelée au strabisme. Il faut refuser cette aliénation de toutes nos forces. Car c’est nous tous que la folie menace.

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