Disparition de David “Daoud” Drugeon : sa mère en niqab ne comprend pas, son frère le présente comme un militant humanitaire…

Au lendemain de l’annonce de la mort de David “Daoud” Drugeon – jeune djihadiste français du groupe Khorassan, vraisemblablement tué dans l’attaque menée par un drone américain en Syrie – sa mère en niqab s’est confiée à I>Télé, elle ne comprends pas et “(n’a) pas élevé son fils comme ça” :

“C’est quelqu’un qui voulait aider son prochain, c’est tout”, affirme son frère Cyril, lui aussi converti à l’islam :

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69 Comments

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  • Robert , 8 novembre 2014 @ 21 h 07 min

    La mère est aussi convertie, c’est une famille bretonne à la base, comme son frère ou le niqab c’est pour cacher sa honte ou faire plaisir à son fils survivant ?

    Franchement, ces convertis au radicalisme musulman commencent à poser un vrai problème.
    Que l’autre brule en enfer est une chose, que des milliers nous entourent chez nous est plus inquiétant.

  • Robert , 8 novembre 2014 @ 21 h 10 min

    Le frère a bien appris sa partition, victimisation systématique et complète, négation du réel.
    Si une communauté est humiliée, espèce de tache, ce sont les chrétiens dont tu est originaire et que tu trahis. Et que demain, tu tueras peut-être comme ton frère en les faisant passer pour coupables comme le font partout les musulmans.

  • Stephan_Toulousain , 8 novembre 2014 @ 21 h 14 min

    Dans son aventure meurtrière, il a trouvé ce qu’il voulait donner : la mort.
    Il doit être content, nous aussi.

  • Monsieur T , 8 novembre 2014 @ 22 h 11 min

    Beaucoup critiquent ici, mais que font-ils concrètement pour rencontrer ces familles françaises isolées soumises à un prosélytisme intense? Familles dont la formation religieuse est au niveau zéro. C’est facile d’accuser quelqu’un de traîtrise et de se réjouir de sa mort quand on reste chez soi et qu’on n’en a strictement rien à faire du sort de ses compatriotes et qu’un beau jour oh! on se rend compte qu’une famille desouche s’est convertie à l’islam. aucune remise en question rien, après ça sera le tour d’une autre famille, puis une autre… la solidarité communautaire et l’apologétique ça sauve des vies mais la quasi-totalité des français n’en veulent pas ou s’en sentent incapables, il ne faut pas venir ensuite se plaindre…

  • Gisèle , 8 novembre 2014 @ 23 h 07 min

    Ah bon ??? être catholique c’est comme être communiste ??
    C’est beau l ‘ ignorance !

  • Azerty , 8 novembre 2014 @ 23 h 18 min

    J’ai toujours plaidé pour un communautarisme franco-catholique qui doit se traduire par des actes concrets dans la vie quotidienne. Et c’est ce que je m’efforce de faire. Par ailleurs, la création et le renforcement du lien communautaire passe aussi par la prise de conscience de ce que l’apostasie est une trahison qui ne saurait être tolérée. Une communauté doit se forger des mécanismes de protection et d’exclusion.
    Ce qui passe par le fait que le catholicisme, lien de la communauté, ne saurait être considéré sur un pied d’égalité avec le mahométisme ou le talmudisme, et qu’il ne saurait, du même coup, y avoir de liberté de religion.
    Celui qui sort de la communauté, un ami, un fils, etc, doit être considéré comme mort.
    Je ne serrerai jamais la main, ni ne voterai, ni prêterait attention à ce que peut dire un inverti à l’islam pour ne pas le conforter dans son acte. Il doit savoir qu’il est un traitre passé à l’ennemi.
    Comment un père catholique a-t-il pu toléré que son fils de 13 ans se fasse mahométan ? Encore un qui pensait qu’on a tous le même dieu, qu’on ira tous au paradis, et qu’un jour on dansera tous autour du feu en chantant des chansons.

  • Gisèle , 8 novembre 2014 @ 23 h 24 min

    Après la période révolutionnaire, l’épiscopat nommé sous Napoléon Bonaparte avait permis de redresser nettement la situation de l’Église de France. Ces pasteurs furent généralement bons, exemplaires et compétents. L’abbé Pie savait trop ce que la France, qui avait tant souffert, devait à ces francs pasteurs. Il pensait que ce ne serait jamais à l’Église de se contorsionner pour prendre des atours attrayants en se conformant aux lois du monde, mais qu’il lui faudrait parler haut, clair et fort, par la voix de ses pasteurs, pour aller évangéliser les foules. Pour l’évêque de Poitiers, « Les pouvoirs forts (…) se font respecter, et le respect touche de près à l’amour qu’il finit presque toujours par obtenir. » [2] Cette force et ce respect ne s’acquièrent pas à coups de jésuitismes, mais de paroles franches. « Je n’aime pas la guerre à coups d’épingle, disait-il un jour ; quand il faut la faire, je tâche de la faire à coups de canons. » [3] Les propos que Mgr Pie tint lors de son sacre épiscopal marquèrent le peuple qu’il allait devoir gouverner. Il resta fidèle à ce programme pendant tout son épiscopat. Il s’agit du reste d’un fort beau morceau d’éloquence :

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