Il ose tout, se permet tout! Et si nul ne l’arrête, comme on le constate, ce sera de pire en pire. Il conviendrait enfin de faire savoir à ce salarié qu’il doit une courtoisie certaine à ceux qui le rémunèrent.
N’allez pas croire qu’il agit au hasard, que ses propos dépassent sa pensée, que c’est un gaffeur ou un malappris.
C’est un individu d’une suffisance pathologique qui se croit autorisé à tout et importe quoi, tant il est infatué de sa petite personne.