Janice, 25 ans : “J’ai dit non à la société de consommation”

A 20 ans, Janice choisit de quitter la ville et d’adopter un mode de vie radicalement écoresponsable. Cinq ans plus tard, elle ne regrette rien du tout, au contraire.

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12 Comments

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  • philsen , 6 janvier 2015 @ 9 h 30 min

    La dame est bien gentille, mais ne peut pas se targuer de servir de modèle à suivre.
    Parce que combien sont, parmi les lectrices bobo de Elle, celles qui ont hérité d’un vaste domaine campagnard avec une ferme et une maison, sans bourse délier ?
    Ce qui permet cette expérience.
    On voit aussi que peu à peu au bout de 5 ans, la dame revient profiter des commodités modernes qu’elle avait vouées aux gémonies : la salle de bains, l’ordinateur, le téléphone portable…. et la nécessité de gagner plus d’argent pour payer tout ça.
    On verra ça sur longue durée, voire avant, dans 10 ans ?

  • V_Parlier , 6 janvier 2015 @ 9 h 51 min

    Certes. Encore faut-il bien l’interpréter, et l’humain est souvent de mauvaise foi.

  • HIBISCUS , 6 janvier 2015 @ 23 h 52 min

    Elle dit non à la société de conso…Elle vit où, dans les bois???

  • kanjo , 7 janvier 2015 @ 0 h 55 min

    il y a à prendre et à laisser. On peut vivre en quasi-autarcie dans une vielle ferme comme le faisaient nos ancêtres et s’en trouver bien sans débiter toutes ces âneries gaucho-bobo.
    Moi aussi, j’ai utilisé des couches lavables pour mon fils, mais je les ai lavées à la machine, et ça m’a fait faire des économies à la fois sur les couches et sur les pommades anti-fesses-rouges. Je fais aussi du feu dans la cheminée pour me réchauffer (et pas pour prétendument économiser de l’électricité) et j’essaye de faire pousser des légumes dans mon jardin, mais là encore, c’est pour les manger, pas pour aller me vanter. Et si mon chat attrape des souris, c’est sa liberté, ça ne change rien à sa ration de croquettes.

  • Trucker , 10 février 2015 @ 15 h 55 min

    Pourquoi taxer les propos tenus d’âneries gaucho-bobo tout en reconnaissant que c’est comme cela que vivaient “nos ancêtres” ?

    Et d’abord à quelle période de notre histoire doit on situer l’expression “nos ancêtres” ?

    Car à 52 ans, je me souviens du petit garçon que je fût et qui a connu cela dans la ferme de ses grands parents maternels, en Dordogne, il y a donc guère plus de 40 ans en arrière.

    Une grande ferme dans laquelle il n’y avait pas encore de chauffage central, d’eau courante dans toutes les pièces, le “moine” pour chauffer le lit l’hiver, le puits dans la cour et le WC à l’angle du bâtiment, trou malodorant. et cuvette de bois.

    C’est notre regard actuel et le discours d’une gauche écolo idéologique qui imposerait de juger ce genre de témoignage comme étant gaucho-écolo ?

    Même si c’est dans Elle ?

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