Pas-de-Calais : Frédéric Cuvillier sort les accordéons contre le FN

Eric Martin
4 novembre 2015
Latest Update: 4 novembre 2015 11 h 08 min
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Ils n’ont plus que ça comme arguments… Frédéric Cuvillier, tête de liste socialiste dans le département Pas-de-Calais, a sorti une chanson contre le FN : “Quand Le Pen monte, j’ai honte”.

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KIKI , 4 novembre 2015 @ 11 h 16 min
Le ridicule ne tue pas, mais les landemains vont déschanter.
Babouchka , 4 novembre 2015 @ 11 h 45 min
Mais attendons la fin…..

Frédéric Cuvillier pendant toute sa campagne ayant chanté
Se trouva fort dépourvu quand la campagne fut venue….

MLP a bien répondu.
Marino , 4 novembre 2015 @ 11 h 45 min
* Le président PS de la région Nord-Pas-de-Calais laisse sa place à Marine Le Pen

Anecdote amusante :

Quand Marine Le Pen et son staff débarquent dans les tribunes peu avant le coup d’envoi du match qui oppose Lens à Nancy, la présidente du Front National “peine à trouver sa place”, rapporte “La Voix du Nord”. Et pour cause, un spectateur a déjà pris le siège réservé par la députée européenne :

Daniel Percheron himself, le président PS de la région Nord-Pas-de-Calais. L’élu est alors obligé de se déplacer et se retrouve sans place au beau milieu de la tribune. Malaise.”

“La Voix du Nord” :

Lundi soir, le RC Lens s’est imposé face à Nancy au stade Bollaert-Delelis (1-0). Quelques acteurs politiques de la région s’étaient glissés parmi les 21 512 spectateurs venus assister à ce succès.
Une scène, filmée par nos confrères de France 3, postée sur Youtube puis supprimée, fait aujourd’hui parler sur la toile.

* Censure ?
lepitt , 4 novembre 2015 @ 11 h 46 min
La politique, c’est comme l’accordéon… quand tu pousses à gauche, sa souffle à Droite.
lepitt , 4 novembre 2015 @ 11 h 47 min
ça
lepitt , 4 novembre 2015 @ 11 h 48 min
Après le pipo, l’accordéon… !!!
lepitt , 4 novembre 2015 @ 12 h 06 min
L’air qu’il nous joue et dont ils nous rebattent les oreilles depuis plus de 30 ans, on le connaît… chômage, précarité, insécurité, immigration, délocalisations, désindustrialisation, mondialisation, perte identitaire, déculturation… un pot-pourri de Faust inaudible et indigeste.