Cash Investigation : la face cachée (et hideuse) de votre téléphone portable

Eric Martin
8 novembre 2014
Latest Update: 8 novembre 2014 0 h 58 min
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Esclavage humain, exploitation de mineurs, accidents mortels de centaines de travailleurs chaque année, pollution massive et populations malades, complicité entre multinationales et Etats, oligarques hypocrites et menaçants qui refusent de reconnaître leurs méfaits, etc. Après un numéro sur l’obsolescence programmée qui faisait déjà froid dans le dos, ce reportage de “Cash Investigation” est une invitation à changer radicalement nos modes de vie et à revenir à une existence plus simple et plus libre :

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montecristo , 9 novembre 2014 @ 20 h 33 min
Et puis … sommes nous responsables de ce que les Etats autorisent, chez eux, le travail des enfants ???
Suis je responsable en France de la pollution de l’eau … en Chine ?
Suis je obligé de savoir qui fourni les pièces de mon portable ?
Dois je me priver du progrès des technologies occidentales et dois je vivre comme dans les pays sous développés sous prétexte qu’ils exploitent les enfants.
Comment vivraient ces peuples autrement ? Serait-ce mieux … ou pire ?
Goupille , 9 novembre 2014 @ 22 h 06 min
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Quitte à passer pour une Sélénite dans la partie piafs sans cervelle de ma famille …
Yvan , 11 novembre 2014 @ 14 h 10 min
Bravo tout d’abord à l’équipe d’avoir réveillé certaines consciences, en prenant des risques considérables. J’espère que cela fera réfléchir les drogués du numérique qui changent de portable comme ils changent de chemise, et plus globalement ceux qui confondent bien trop souvent l’informatique avec un jouet !
Je passerai sur M. Quentin d’Huawei qui vient de se mettre lui-même hors jeu par la grande porte – encore un qui n’a rien compris.
Je passerai également sur M. Gates et sa fondation “cheval de Troie”. Rappelons que ce triste personnage bénéficie toujours via ses actions de la vente forcée en magasin, laquelle cache soigneusement l’alternative GNU/Linux à des gens un peu trop crédules et souvent peu curieux.
Mais là où le reportage m’a particulièrement outré, c’est lors de l’interview de M. Karel De Gucht sur les “minerais de sang” et ses fameuses entreprises “qui choisissent d’être responsables”. Voilà l’exemple type de clientélisme patent, au sommet de la pyramide, qui dénature les idéaux européens, et foule les droits de l’homme (et de l’enfant) aux pieds ! On est carrément entre la trahison assumée des peuples et la complicité en crime contre l’humanité. Insoutenable ! Pas la peine de se demander pourquoi l’Europe va si mal avec des responsables incapables d’imposer des lois justes et équitables au reste du monde, et qui laissent encore des entreprises – étrangères de surcroît – dicter leurs lois ! J’espère que le coup de balai qui s’impose sera passé rapidement !
Au final, le problème de la fabrication reste ouvert : il est clair qu’avec 300 € de marge sur certains modèles, il y a aurait largement de quoi assurer des niveaux de vie décents à tous les étages. Mais il est clair aussi qu’avec des intermédiaires aussi pourris que leurs commanditaires respectifs, la vraie question est de savoir comment imposer des commerciaux responsables en face de parasites établis. Au lieu d’imposer la recyclage obligatoire des smartphones, et de lutter contre l’obsolescence programmée, tout ce que l’Europe a finalement réussi à faire en presque 10 ans, c’est d’imposé un chargeur en USB pour tous les modèles… On est dans le ridicule le plus absolu – pas étonnant que les américains et les chinois nous prennent aussi ouvertement pour des bouffons.
Observateur , 13 novembre 2014 @ 11 h 36 min
Les POLITOCARDS, de ces pays pourraient contrôler leur démographie.
Le robot est de plus en plus concurrentiel.