La pratique régulière de la prière réduirait de 50% le risque de la célèbre maladie, responsable d’un grand nombre de décès chez les personnes âgées. C’est ce qui ressort d’une étude menée aux Etats-Unis et en Israël auprès de 900 personnes âgées de 65 ans et plus. Les chercheurs ont suivi pendant 10 ans ces personnes, distinguant celles qui priaient cinq fois par jour et celles qui le faisaient moins régulièrement. Il en ressort que les plus pratiquants ont moitié moins de risque de développer Alzheimer ou des troubles de la mémoire mais aussi que la pratique de la prière permettrait de ralentir la progression de la maladie quand elle est installée. Les chercheurs ont expliqué ce phénomène par le fait que la prière ferait travailler la mémoire et l’intellect.
Bien sûr, ces résultats doivent être interprètés avec prudence et d’ailleurs, certains experts critiquent la méthodologie utilisée pour cette étude. Ce n’est cependant pas la première fois qu’on arrive à établir un lien de cause à effet entre des pratiques religieuses et l’exercice de la mémoire. Ainsi, l’année dernière, une étude américaine démontrait que la pratique de la méditation pouvait ralentir la progression de la maladie, mais la démonstration portait sur un trop faible nombre de personnes pour être convaincante.
Voici donc une raison supplémentaire de se rapprocher de Dieu!
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