Entre deux sorties au Parc des princes, quelques virées nocturnes dans des soirées branchées et des soirées romantiques avec sa chérie à New York, Louis Sarkozy semble, comme son père, aussi s’intérésser à la politque. Le fils de l’ancien président français publie depuis quelques semaines des chroniques sur le site du Washington Examiner, un hebdo américain très conservateur, et ne semble pas effrayer à l’idée de crier haut et fort ses opinions.
Repéré par le site du journal Libération, ce dernier y commente la politique américaine. Son dernier édito s’attaque d’ailleurs aux médias américains, qu’il estime être dans une « bulle de filtres gauchiste ». Il pointe le manque de journalistes pro-Trump dans les rédactions comme celle du New York Magazine, et déplore le fait que CNN n’invite selon lui peu ou pas de soutiens du président américain. Dans ses deux autres articles, il s’en prend également à la « mentalité d’ultragauche » des universités américaines, et aux célébrités US qui s’expriment sur des sujets politiques qu’ils « ne devraient tout simplement pas manier ».
Mais ce n’est pas tout, l’ex de Capucine Anav défend aussi à plusieurs reprises le britannique Milo Yiannopoulos, connu pour ses prises de position sexistes homophobes et racistes, qui avait été banni de Twitter pour harcèlement. « Les contenus de droite sont davantage scrutés et susceptibles d’être attaqués, voire censurés », assure Louis Sarkozy en évoquant YouTube, Facebook et Twitter. Sa mère Cécilia Attias semble en tout cas l’encourager dans cette voie, puisqu’elle s’est déclarée « fière » de la dernière parution de son fils sur le réseau social au petit oiseau bleu.