Texas : le combat d’un père pour son fils condamné à mort

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  Robert , 23 février 2018 @ 21 h 58 min

  Si on peut comprendre, et respecter, le pardon du père à son fils, ce pardon est personnel.
  Reste la dimension morale et sociale du crime commis, le meurtre de sa propre famille par appât du gain.
  Saint Louis, notre seul souverain canonisé, avait refusé la grâce à une femme qui avait faite assassiner son mari par son amant. A cause de l’exemple que cela aurait pu donner à d’autres, à la société.
  Si d’autres enfants sont tentés de tuer leur famille pour toucher l’héritage, quel sera l’exemple d’un enfant qui certes va passer sa vie en prison ce qui n’est pas rien, et à certains égards est pire que la mort, mais qui échappera au châtiment suprême pour ce crime particulièrement destructeur de la vie sociale ?
  Cette question se pose réellement.

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