Depuis les premières “frappes” américaines sur les installations militaires libyennes, il semble que l’opinion publique rétive à cette idée avant son déclenchement, y soit désormais plus favorable.
Un sondage Rasmussen menée les 20 et 21 mars et publié aujourd’hui, 22 mars, signale que voici deux semaines, seuls 22 % des sondés (électeurs probables) étaient favorables à une implication militaire des États-Unis en Libye. Ils sont désormais 34 %, mais une majorité relative de 48 % s’y dit toujours hostile (moins 15 % depuis le précédent sondage).