Pennsylvanie : L’avortement en baisse grâce à un accompagnement gratuit et personnalisé des femmes

Real Alternatives, une organisation caritative qui propose “des alternatives saines et positives à l’avortement dans tout le pays” et dont un programme est financé par le ministère de la Santé de l’État de Pennsylvanie, a fait les comptes : entre 1996 et 2012, elle a, via 93 centres de soutien à la grossesse, organisations de bienfaisance catholiques et maisons pour jeunes mères célibataires, avec l’aide de 500 conseillers, pris en charge gratuitement et de façon confidentielle plus de 200 000 femmes enceintes en détresse habitant l’État. Résultat : une baisse de 7% du nombre d’avortements pratiqués en 17 ans (34 459 en 2011 contre 37 173 en 1995). En 2012, Real Alternatives a reçu 5,8 millions de dollars des pouvoir publics, ce qui lui a permis de venir en aide à près de 19 000 femmes. 87% d’entre elles n’envisageaient plus d’avorter après leur prise en charge. Real Alternatives travaille avec quatorze autres États dont le Texas, via le programme public Texas Pregnancy Care Network. Déjà 72 000 femmes ont été prises en charges tandis que 374 000 étaient conseillées dans l’État de l’étoile solitaire.

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2 Comments

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  • Charles , 18 février 2013 @ 19 h 30 min

    Ceci est précisément ma contribution au fil des journées précédentes
    concernant l’absence scandaleuse d’une clause de sauvegarde
    a l’intérieur de la loi Veil.

    A savoir, donner le véritable libre choix entre le choix A (Abortif)et le choix B (Bébé)

    Pour avoir un droit réel il faut avoir a la fois le droit légal
    et les moyens pratiques,Pour le choix A et pour le choix B.

    Il se trouve que le gentil législateur républicain et maçonnique
    n’a prévu les moyens que pour le choix A

    Il a betement oublié d’insérer des dispositions pratiques pour le choix B.
    C’est vraiment ballot de ballot,et ce depuis 38 ans (2013-1975).

    Au tarif républicain de 220.000/an,cela donne 7.6 Millions de cas en France.
    Sachant que les 15/25 ans représentent plus de 50% des avortements,
    nous avons donc eu 3.8 Million de jeunes mamans qui ne se sont vu refuser
    la présentaton d’une clause de sauvegarde,en format plan B,
    avec une offre de place dans un lycée résidentiel dédié aux jeunes mamans.

    En plus,les eveques conciliaires de France et du Monde refusent toujours
    d’ouvrir le dossier sur cet angle d’approche du droit au véritable choix entre A et B.

    Ils preferent se concentrer seulement sur le principe de la legalisation
    ,posture qui ne mange pas de pain et qui ne change rien depuis 38 ans.
    Ils continuent la lutte…..

  • Nicolas , 19 février 2013 @ 10 h 17 min

    Voilà un exemple à suivre.
    Je rejoins Charles et son commentaire.
    A ce jour seul est proposé le choix A.
    Beaucoup d’opposant son son sur la ligne 0 avortement.
    La possibilité doffrir réellement une autre possibilité nest pas mis en place (le Choix B).
    A d éfaut dinterdire l avortement si déjà la possibilité d offrir un choix B permettait d éviter ne serait ce que 30 pour cent d avortemnt cela serait un 1er pas.
    Chaque vie sauvée est une bonne chose.
    Soyaons pragmatique et sauvons ce qui peut l être.

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