L’impopularité des Américains pour l’ObamaCare n’a cessé de croître depuis la promulgation de cette loi en mars de l’année dernière, mais elle vient d’atteindre un nouveau record.
Selon une enquête menée par Rasmussen les 12 et 13 mars sur un échantillon représentatif d’“électeurs probables” (Likely Voters) – une catégorie sociologique bien plus valables que celles des “adultes” et des “électeurs inscrits”) –, 62 % des sondés sont partisans de l’abrogation de l’ObamaCare : c’est le plus haut pourcentage depuis mai 2010. Seulement un tiers des électeurs probables (33 %) est opposé à l’abrogation. En outre, 61 % des sondés estiment que la loi aura pour effet d’augmenter les coûts de la santé, alors que seuls 17 % en attendent une diminution. De même, 54 % des interrogés pensent que l’ObamaCare aura un effet négatif sur la qualité des soins, alors que 24 % estiment qu’elle va s’améliorer et que 17 % pensent qu’elle ne changera pas.