D’abord la National Association for the Advancement of Colored People (concernant le rejet d’une plainte déposée suite à l’intimidation d’électeurs par des membres du New Black Panther Party for Self-Defense), puis le Project Vote, proche de l’Association of Community Organizations for Reform Now (visant à utiliser le National Voting Rights Act (NVRA) à des fin clientélistes) pour lequel a travaillé Barack Obama plus jeune, et maintenant le Southern Poverty Law Center (SPLC) dont le co-fondateur, Morris Dees, semble avoir ses entrées au sein des divisions “Civil Rights” et “Tax” du département de la Justice, si l’on en juge par les courriels échangés entre lui et des officiels du ministères ! L’organisation Judicial Watch, qui lutte contre la corruption de l’État, révèle pour la troisième fois depuis 2011 des liens troubles entre l’administration Obama et des organisations situées très à gauche sur l’échiquier politique. Des documents obtenus en vertu d’un Freedom of Information Act (réclamant tous les dossiers relatifs au SPLC constitués et/ou alimentés entre le 1er janvier et le 31 août 2012) présenté au ministère de la Justice le 10 septembre 2012 après la tentative d’attentat contre le siège du Family Research Council en août. Une attaque qui faisait suite à un durcissement des débats autour de la redéfinition du mariage et une tentative, déjà vieille de plusieurs années, de diabolisation d’organisations pro-famille et pro-mariage par le SPLC. Le premier qualifie les plus offensives (American Family Association, Concerned Women of America, Family Research Council, etc.) de “groupes de haine » et les classe aux côtés d’organisations, elles, vraiment extrémistes (KKK, etc.). Le SPLC est une organisation qui, en plus de lutter contre le racisme, prône le multiculturalisme et les revendications homosexuelles.
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