Gilles-William Goldnadel : « Du temps où il a était à la Maison Blanche, il était pas très populaire Obama. C’est quand même important l’indice de satisfaction de ses concitoyens, plus que l’indice de satisfaction des people français. La réalité qui restera de M. Obama, c’est celui qui est grandement responsable, grandement responsable, du calvaire du peuple syrien. Ce monsieur Obama qu’on paie grassement pour sa conférence de dimanche avec tapis rouge, c’est celui qui n’a même pas respecté la ligne rouge qu’il avait édictée lui-même lorsqu’on a gazé le peuple syrien. C’est celui qui n’a pas su arrêter les menées du régime des Ayatollahs iraniens. C’est celui qui n’a rien fait pour contrer le programme atomique de la Corée du Nord. La réalité, c’est plus important que les bulles (…) C’est un président calamiteux. On est dans un mensonge savamment construit par les médias bien-pensants. Ce président-là “élégant”, “beau”, a un bilan calamiteux. La réalité, c’est plus important que le virtuel médiatique. »
Source : RMC, lundi 4 décembre 2017, 11h00
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