Le taux de natalité aux États-Unis a chuté de 2,08 enfants par femme en 2008 à 2,01 en 2009. Les générations ne se renouvellent donc plus. La croissance démographique n’est due qu’à l’immigration. Cette chute du taux de naissance touche toutes les composantes ethniques aux États-Unis entre 2008 et 2009 : Blancs (- 2,8 %), Indiens/Natifs d’Alaska (- 3,5 %), Noirs (- 3,9 %), Asiatiques (- 4,8 %), Hispaniques (- 4,8 %). Au cours de chacune de ces années, le nombre d’avortements légaux signalés (la loi n’obligeant pas à ce signalement, le nombre est évidemment sous estimé) se monte à un peu plus de 1,2 million.
Source : Population Reference Bureau.
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