Chine : vers la fin du contrôle des naissances

4 Comments

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  Boutté , 29 août 2018 @ 14 h 58 min

  Que l’on veuille bien m’expliquer comment la politique de l’enfant unique appliquée(?) en Chine durant plus de 35 ans a pu conduire à une explosion du nombre de Chinois . Ces gens là sont magiciens sans doute
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  Chevalier- de Moncaire , 29 août 2018 @ 15 h 51 min

  Tout cela trés bien. Trés aplaudissant sans doutes si nous sommes pro vie et pro enfants. Préservez nous Seigneur de ne jamais voire la Maison sans enfants disait le libre penseur Victor Hugo. Mais attention cela peut être tres util au gouvernement de la République Populaire de Chine pour exporter hors de ses frontières davantage de chinois et chinoises.
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  Melisenda , 29 août 2018 @ 20 h 28 min

  @ Chevalier-de Moncaire
  La Chine s’est résolue à abroger cette loi de l’enfant unique pour une raison primordiale très simple : la population vieillissante est devenue telle que le gouvernement s’est rendue compte que sa jeunesse étant devenue proportionnellement dangereusement descendante ne pouvait pas assurer par leur travail la relève de l’économie du pays. Par ailleurs, d’autres facteurs sont également entrés en ligne de compte : meurtres d’enfants de sexe féminin à la naissance, les Chinois, de par leur culture ancestrale et souvent très pauvres privilégiant les enfants mâles, enfants fantômes que l’on ne déclarait pas à l’état-civil pour ne pas encourir les sanctions prévues pour avoir dépassé le seuil de l’enfant unique…

  Votre avertissement, selon lequel la Chine chercherait, par les moyens énoncés d’abroger cette loi de l’enfant unique, à exporter hors de ses frontières davantage de ses ressortissants, part d’un postulat erroné. Utile cette nouvelle politique de fin de contrôle de naissances, certes, mais avant tout pour la Chine elle-même et son économie intérieure.
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  Melisenda , 29 août 2018 @ 20 h 31 min

  Rectificatif :”(…) que sa jeunesse étant devenue proportionnellement dangereusement descendante ne pouvait pas assurer par SON travail(…)” Le reste inchangé

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