explique la journaliste Ines San Martin à LaVie.fr :
Il est intéressant de noter que chaque sondage publié ces trois derniers mois montre qu’une grande majorité des femmes pauvres en Argentine rejette l’avortement. En fait, la part de la société qui a le plus approuvé ce projet de loi est représentée par des hommes d’âge mûr, issus de la classe moyenne et aisée. Pendant le débat, une femme de Buenos Aires Villa 31, l’un des plus grands bidonvilles du pays, a clairement demandé au Congrès et à la campagne pro-avortement d’arrêter d’utiliser les femmes pauvres comme une excuse, car la plupart des femmes pauvres ne veulent pas l’avortement.