en donnant la parole à Yasha Mounk, professeur à Harvard, qui explique que le nationalisme reste la tendance politique la plus puissante du monde moderne, qu’il est vain d’espérer faire changer d’avis durablement la population et de la convaincre d’être cosmopolite : “Il faut proposer une vision inclusive du nationalisme, dire que c’est une bonne chose d’avoir une forme de solidarité entre citoyens.”