Les comptes du Rassemblement national, ex-FN, vont être directement ponctionnés par la justice. 2 millions d’euros sont en jeu, sur les 2,5 millions que le parti devait toucher au titre de remboursement post-élections présidentielle et législatives. Marine Le Pen, la présidente du parti, a dénoncé sur Twitter une “peine de mort ‘à titre conservatoire’” et une “volonté d’assassiner le premier parti d’opposition” tandis que Louis Alliot s’en prenaient aux “deux juges d’extrême gauche à l’origine de cette mesure”. Le RN s’apprête à interjeter appel :