au vu des menaces sur la liberté d'expression, au Brésil ce matin, à Bruxelles via la DSA, même aux Etats-Unis avec pressions des progressistes, procès, etc, se rappeler quatre choses; a) quand on veut noyer son chien on l'accuse de la rage et les bonnes intentions font en enfer…
— Yves Bourdillon (@yvesbourdillon) September 1, 2024
Les menaces ne proviennent d'ailleurs pas exclusivement des Etats ; les patrons des réseaux sociaux peuvent déterminer ce que des centaines de millions de personnes peuvent lire, ou entendre sur leurs plate-formes, pouvoir d'influence sans doute sans équivalent, et donc exercer…
— Yves Bourdillon (@yvesbourdillon) September 1, 2024