Ainsi, une procession de fidèles chrétiens sans protection, commémorant par la prière le souvenir des martyrs catholiques mis à mort par la Commune de Paris a-t-elle été agressée ce dernier samedi par toute une camarilla d’ultra-gauche, communistes et « antifas ».
Sur la finalité de la procession, Mgr Denis Jachiet, évêque auxiliaire de Paris, a déclaré au Figaro : « L’objectif était purement religieux, il n’y avait aucune revendication politique dans notre démarche ».
Mgr Jachiet semble manifestement ne pas bien saisir que c’est la haine de la religion catholique, de ses valeurs spirituelles et morales qui a toujours suffi pour motiver les agressions de l’extrême-gauche athée.
Celle-ci n’a pas besoin d’un positionnement politique des catholiques pour les détester.
La haine de « la religion, opium du peuple » est toujours dans l’ADN des marxistes-léninistes et des révolutionnaires en général, jacobins, Jeunes-Turcs, nazis et communistes. Mais tous ceux-là ont certes mené dans des dizaines de pays leurs exterminations des chrétiens sous le prétexte de la nocivité de leur politique.
Il ne sert donc à rien de vouloir se disculper de pareille accusation. Le seul fait de prier pour les martyrs des révolutions d’hier ou d’aujourd’hui constitue pour les communistes et autres groupuscules de l’ultra-gauche une provocation nécessitant une réponse de violence liberticide.
On peut toujours comprendre cela sous l’éclairage de la fable du Loup et de l’agneau.
Les agresseurs communistes et gauchistes de la procession de Ménilmontant ont apporté une fois encore la preuve de la nécessité d’un ordre politique protecteur de la liberté publique d’exercice de la religion.
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