Lundi 1er février, les députés se pencheront sur la question de l’instruction à la maison, qui concerne seulement 0,4 % des enfants en âge d’être scolarisés. S’il a d’abord été question de l’interdire, aujourd’hui, elle pourrait simplement être soumise à une demande d’autorisation, à l’exception de certains cas. Un projet de réforme toujours aussi inquiétant et liberticide :