Charlotte d’Ornellas magistrale sur l’attaque à la mosquée de Bayonne (VIDÉO)

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  • HuGo , 31 octobre 2019 @ 20 h 01 min

    Rare journaliste vraiment intéressante et exemplaire au milieu de bêlants la laïcité, le vivre ensemble, le harcèlement, l’extrémisme, etc….
    Arrêtons l’immigration incompatible, entrons dans la remigration qui s’impose avant l’explosion.
    À ce propos, je ferais volontiers l’échange des ces bêlants qui nous dirigent, qui nous sèvrent par leur propagande mondialo-compatible, toujours véhéments à l’égard des bonnes analyses mais qui ne leur plaisent pas et lesdes occultent contre tous eux qui souffrent vraiment de l’intolérance. Ainsi les beaux parleurs vénéneux d’hypocrisie sans aucune profession visée pourraient enfin vivre, eux, enfin heureux, en terres d’islam radical ou en terres communistes ou laïcardes et brailler là, vitupérer, ostraciser, psychiatriser ceux qui leur ressemblent.
    Ils apprendront vite ….
    Et ici, nous vivrions ensemble avec les soumis, les vrais pacifistes, les honnêtes gens …

  • Jean NOGUES , 1 novembre 2019 @ 1 h 24 min

    Je regrette, je ne vois pas ce que Charlotte d’Ornella a de si intéressant et exemplaire, son discours est creux et ne fait rien avancer. Ménard est bien plus simple et clair. On le comprend 5/5 quand il dit:

    ”je suis du côté des 70 % contre le côté des 30 % qui pourrissent la vie et donc je combats sans concession les 30 %”

    On peut être d’accord ou non, mais au moins c’est un programme cohérent.

    Charlotte d’Ornella, il faudrait qu’elle soit moins belle pour qu’on puisse se concentrer sur ses discours, alors on réaliserait que ses discours sont sans intérêt, décousus et insignifiants (i.e. de signification pauvre) . Vous avez compris ce qu’elle a dit sur la laïcité, vous ? ben moi, non ! rien de rien ! et son ”VIVRENSEMBLE” ! qu’es aco ? quel poncif ! quel cliché ! quel lieu commun pour esprits vides ! tant qu’on ne s’assassine pas, et qu’on se fait pas la guerre, on vit ensemble, pardi !

    A la décharge de Charlotte d’Ornella, il faut avouer que ces journalistes sont insupportables. Aucun invité ne parvient à terminer d’exposer une idée. Charlotte n’a jamais pu exposer une seule idée claire et nette jusqu’au bout c’est systématique ! C’est peut-être pour cela qu’elle été si terne.

    Car jounaleux barbu aux cheveux blancs qui dirige tout est impoli, pourquoi s’immiscie-t-il dans le débat ? un journaliste n’a pas à intervenir dans un débat, ce n’est pas un directeur de conscience, mince alors ! c’est la philo officielle ou quoi ?

    Un journaliste digne de ce nom donne la parole à tour de rôle et menace d’arrêter l’émission si un invité qui a la parole est blézimardé par des malotrus. Il peut orienter le débat, ça oui, en posant des questions et surtout en n’y répondant pas lui-même ! le choix des questions est important, on peut laisser cette prérogative au journaliste, et s’il est bon, il pose les bonnes questions.

    Quand je visionne ces débats d’impolis entre eux, je n’écoute plus. Je n’arrive pas au bout, ça n’a aucun intérêt. Et puis ces permanentes génuflexions à la République, ses valeurs etc etc, on dirait des prêtres tradis qui prient avant le repas, après, pendant, pour rappeler tout le monde à la foi commune ! par cette attitude, ils font de leur République une religion comme les autres !

    Si on commence à dire qu’on est tous d’accord sur tels ou tels principes ”’républicains” ou ”philosophiques”, ou ”démocratiques”, alors quel est l’intérêt du débat ? tout ne sera qu’hypocrisie, crainte de déraper, rude déplaire, ne sera qu’autocensure secrète, donc vanité sans lendemain. Le débat intéressant est le débat LIBRE, sans rappels de préjugés en cours ici et pas en cours ailleurs. C’est la seule façon de savoir ce que pensent vraiment les invités ! un débat n’a pas pour finalité de définir un programme de gouvernement ni une morale officielle. Il a pour finalité d’informer les spectateurs sur l’état d’esprit véritable des populations, avec toute sa multiplicité, qui traverse l’opinion. Ça permet de cerner la vérité sur l’opinion, et donc, de déterminer des buts et des stratégies pour les atteindre.

  • Jean NOGUES , 1 novembre 2019 @ 10 h 41 min

    Pardon aux lecteurs des quelques coquilles dans mon message précédent (on NE se fait pas la guerre au lieu de ”se fait pas”………Ce journaleux barbu (..) au lieu de ”Car journaleux”…….”qu’elle A ETE si terne” au lieu de ”été si terne”……..”peur de déplaire ” et non pas ”rude déplaire”). Le correcteur d’orthographe sournois vous place ces trucs-là en différé, ah la vache !

    Sinon, je ne renie pas un iota à ce précédent message. Mais j’y ajoute une remarque : il faudrait vérifier, il me semble que sur le moment, dans les médias, on a moins parlé du Bataclan, qu’aujourdhui, dans les mêmes médias, de ce pauvre débile de 84 ans qui ne semble jusqu’ici avoir tué personne (je suis bien d’accord que c’est par miracle). On a quand même le droit de le remarquer, oui ou non ? ce n’est pas à l’honneur de la profession journalistique….à ce propos, un bruit curieux a couru au moment du Bataclan, selon lequel les victimes étaient en grande partie des français juifs. Vérification faite, il y avait (au moins dans la salle) un et un seul français juif d’assassiné. Tout le reste était composé de franchouillards pur jus de gaulois. On a le droit de le remarquer ? quel était le but de ce mensonge qui a couru ?

    D’autre part voici ce que devrait être un vrai débat. Mon modèle est Jacques Chancel. Le journaliste est neutre, et mine de rien, par une savante courtoisie, il met les invités en confiance, et ils finissent par se livrer plus ou moins (pour les questions d’ordre public, les autres, le savoir -vivre interdit de les aborder). Il pose les grandes questions qui seront débattues. Il prévient d’une sorte de règlement non écrit mais
    qu’il fera respecter : c’est lui qui donne la parole, et dans les limites du règlement, il a le droit de la couper aussi. Il a le droit d’intervenir, poliment (donc sans blézimarder), mais uniquement pour préciser tel un tel point, JAMAIS POUR DONNER SON AVIS PERSONNEL SUR QUOI QUE CE SOIT. D’après ce règlement, il explique qu’il doit veiller à ce que tous les invités bénéficient d’un temps de parole global à peu près égal. Il est défini d’entrée un plafond, par exemple, chacun doit savoir, à chacune de ses interventions, qu’il dispose d’environ dix minutes et pas plus, ou douze minutes et pas plus, etc), donc devra résumer ce qu’il entend faire passer, ce qui est facile quand personne ne coupe la parole. Ainsi, avant de démarrer le débat, chaque invité sait (par exemple) qu’il disposera au plus de huit minutes, et qu’il aura en tout droit à temps de parole global de vingt minutes. Le journaliste doit maîtriser le débat pour savoir approximativement, à tout instant, ce qu’il reste de temps de parole à chaque invité (on ne va pas infliger des pendules chrono au public). On peut concevoir que les invités maîtrisent et gèrent eux-mêmes leur temps de parole, par exemple pour une question évidente, un invité peut se borner à parler deux minutes, quitte à se rattraper pour des questions délicates. Si le plafond est proche, le journaliste avertit discrètement, en faisant comprendre par gestes et mimiques, ou en dernier ressort, par la parole. L’invité en retard sur son temps de parole peut dépasser le plafond, mais pas trop (sinon, il bénéficierait d’un avantage excessif). Un dépassement de plafond autorisé pour retard trop grand ne doit pas excéder trois ou quatre minutes. Tant pis pour ceux qui ont mal géré leur temps de parole et en perdent à la fin de l’émission.
    Chacun pourra se convaincre que conçu de cette façon, le métier de journaliste devient ardu, il faut de la culture, de la mémoire immédiate, un solide savoir-vivre, une grande expérience, et surtout, bien que non autorisé à donner son avis personnel, on voit bien que ces exigences élémentaires obligent le journaliste à avoir étudié sur le bout du doigt les sujets qu’il va jeter dans l’arène par ses questions. Du journalisme de cette trempe n’est pas à la portée du premier apparatchik venu, et mérite de hauts salaires. D’après ce qui nous est actuellement servi 99 fois sur 100, on peut en déduire le niveau réel des journalistes du moment présent.

    Chacun pourra enfin se convaincre que des débats organisés comme je l’esquisse ci-dessus seraient infiniment plus intéressants que ceux qui sont diffusés partout depuis de nombreuses années. Etant plus intéressants, ils seraient plus suivis, et contribueraient à faire réfléchir beaucoup plus de citoyens qu’aujourdhui. Ce qui redorerait le blason du suffrage universel, sérieusement défraîchi depuis trop longtemps.

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