Comme annoncé, j’ai donc participé, anonymement avec des milliers d’autres, à la manifestation du 26 avec Civitas. Cette précision n’a d’intérêt que pour situer d’où provient la réflexion : de quelle violence s’agit-il ? Et pourquoi ?
Certes les journalistes à la botte (à tous les sens du terme) passent leur fiel en boucles sur les « violences d’extrême droite ».
Des violences ? Oui, mais pourquoi ?
1/ Ne soyons pas naïfs : il a dû exister des provocations policières ou stipendiées pour mettre le feu aux poudres, et peut-être des excitations particulières en réponse, bien compréhensibles et même dans le cadre de la légitime défense.
2/ Mais la vraie, la pire violence est ailleurs. Elle provient des violeurs de la liberté que sont Hollande et sa clique, dans leur mélange difficilement chiffrable de haine, de bêtise et de trouille : trois ingrédients d’une dictature qui n’a même pas une once de moralité apparente pour créer un minimum d’acceptation.
3/ Les cris de survie, les « Jamais… jamais… » de cet homme matraqué, humilié par les bandes noires de Hollande résonnent encore dans nos oreilles. J’avais annoncé des actes mortels, semblables aux suicides dus au harcèlement moral dans les entreprises. Le coup de feu de Dominique Venner en a été l’écho tragique. Ce témoignage en forme de violence vers soi est celui des hommes les plus dignes et les plus impliqués, de ceux qui veulent montrer l’image de l’avenir menaçant.
“Oui, ce qui déborde devant l’indignité de Hollande et de son lobby homosexuel, c’est le peuple de France dans toutes ses composantes, chacune avec sa personnalité.”
Les peuples n’ont pas cette option, et heureusement ! Les peuples menacés, les peuples indignés, les peuples bafoués montent à l’assaut. Ils montent à l’assaut par leurs armées, en tempêtes organisées, ou par leurs jeunes forces excédées, en vagues désordonnées.
La vraie violence est celle des violeurs de la liberté. Les patrons voyous de la Maison France, eux seuls, sont responsables et coupables de ces désordres de l’âme portés par les convulsions des corps.
4/ Oui, la coupe est pleine. Elle déborde. Chacun le sent. Depuis les braves familles payant de leur temps, de leur énergie et de leur argent les centaines de kilomètres, aux veilleurs de toutes places, eux aussi menacés, mis en garde à vue.
Alors, faut-il au nom de quelque principe, désavouer ces débordements ? Ma réponse est non, justement parce que ce sont de vrais débordements d’âmes fortes et de réactions de survie. Ne confondons pas le mot employé comme cache-misère accusatoire par les journalistes à la botte et la réalité de ce fleuve de liberté grondant et déferlant, débordant, parce que trop ignominieusement bafoué.
Oui, ce qui déborde devant l’indignité de Hollande et de son lobby homosexuel, c’est le peuple de France dans toutes ses composantes, chacune avec sa personnalité. Cela seul compte. Reste à trouver un chef pour le guider… mais c’est une autre histoire.
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