Après avoir rappelé que si on augmente trop le SMIC, on exclut du marché de l’emploi les jeunes (déjà durement touchés par le chômage) et les peu qualifiés, que le projet de retraite à 60 ans ne peut être financé que par une hausse du coût du travail, Nicolas Doze s’interroge mardi sur l’utilisation des 23 milliards d’euros dépensés chaque année pour la formation professionnelle. Surtout, il s’en prend aux “syndicats fantômes qui représentent 8% des salariés français, 5% dans le privé”. “La place des syndicats, elle est dans les entreprises. Elle n’est pas à Matignon, à l’Élysée ou au Palais Bourbon, pour finir généralement dans la rue”, explique-t-il sur BFM TV, rappelant l’esprit libéral de la loi Waldeck-Rousseau :
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