Arrogants et prétentieux, les Français de papier détestent la France, qu’ils “niquent” avec obstination en toute impunité et une complaisance qui laisse pantois. En général, de nationalité française depuis deux ou trois générations, mais quelques-uns, nés de parents étrangers, ne sont devenus Français que par l’absurde droit du sol, tous ont en commun, et ils y tiennent, une autre nationalité, de cœur : celle de leurs ancêtres. Cet attachement au pays d’origine ne serait pas forcément un inconvénient s’ils n’avaient pas la fâcheuse tendance à s’enfermer dans une communauté qui les maintient dans un carcan culturel et identitaire archaïque, en les éloignant de tout projet d’intégration ; l’option de l’assimilation (parce que trop exigeante et trop difficile pour eux ?) n’est plus retenue depuis longtemps et a été abandonnée par tous nos gouvernements successifs… C’est pourtant ce qui avait parfaitement fonctionné avec les précédentes vagues d’immigration.
Certains de ces Français de papier, d’obédience islamiste, ayant une conception fanatique et très particulière de leur religion – peut-être l’islam est-il singulier ? – font cinq prières par jour, mangent exclusivement halal et voilent leurs femmes de pied en cap (eux-mêmes portent la robe, djellaba, pour certaines festivités ou, peut-être aussi, par goût de la provocation), d’autres, souvent très jeunes, se prennent pour des caïds en dealant des produits illicites sur des territoires dont ils se croient les propriétaires ou d’autres encore, apparemment apathiques, ne semblent qu’indifféremment soumis à leur communauté, mais vivent… comme là-bas ! À un moment ou un autre, ils cherchent l’affrontement verbal ou physique pour laisser éclater leur haine de la France, qu’ils expriment de façon maladive ou subversivement avec mépris et violence. Sous la bienveillance de l’ultra-gauche bien-pensante et des gauchistes de tous bords qui leur distillent la détestation de la France en leur rappelant, à tout bout de champ et à cadence effrénée, le passé de leurs ancêtres colonisés. De nombreuses associations “caritatives”, ne sont pas en reste pour attiser la rancœur et pour soutenir leurs revendications revanchardes. En outre, chaque fois qu’elles peuvent, elles les propulsent à des postes clés de la vie associative, sportive ou sociale ; ce qui leur permet, très officiellement, s’en avoir l’air, d’achever leur travail de sape contre la société. Toute la gauche dans son ensemble, orpheline d’un prolétariat qui, désormais, vote FN et qui se détourne d’elle – ses expérimentations sociétales hasardeuses y sont, sûrement, pour quelque chose – leur assure le service après-vente et trouve là de quoi se refaire un socle électoral à peu de frais. D’après les statistiques de la dernière élection présidentielle, 90 % des multiculturels binationaux ont voté pour Mélenchon et Hamon…
La plupart du temps, ces Français ne se prétendent Français à part entière que quand ils doivent toucher certains subsides ou obtenir des avantages, mais à la moindre occasion, ils retrouvent, très vite, un vieux réflexe identitaire pour se référer au pays d’origine de leurs parents et, donc, à leur deuxième nationalité. Tout cela est bien commode ! Il est vrai, qu’en matière de double nationalité, même des ministres, leur ont montré l’exemple… Ils nous font regretter le temps où l’immigré s’assimilait avec bonheur et était fier d’être naturalisé Français. Souvent, il francisait son patronyme et donnait à ses enfants des prénoms français – à une certaine époque, ils n’avaient pas d’autre choix : l’obligation de déclarer un prénom affiché sur le calendrier était la règle administrative. Beaucoup l’auraient fait tout de même ! En tout cas, nombreux sont ces naturalisés qui ont participé au rayonnement de la France en devenant de remarquables citoyens.
Ceux qui refusent l’intégration en détestant le patrimoine humain et culturel de la Nation, son mode de vie et ses mœurs, ne resteront que des poids morts, des plaies dans le pacte social, des boulets aux pieds des Français de cœur. Ils ne pourront jamais se sentir Français sans avoir un peu d’amour pour la France, sans abandonner un peu de leur culture ancestrale, ou, tout au moins, sans faire l’effort qu’il faut pour s’intégrer en adoptant tout ce qui rassemble et en rejetant tout ce qui divise. Une intégration réussie ne peut se faire qu’à ce prix. Sinon, à tout jamais, deux France irréconciliables continueront à se regarder en chiens de faïence.
Claude Picard
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