Eric Zemmour : “Ce n’est pas infamant d’être contre l’avortement au nom de la vie des enfants”

47 Comments

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  Melisenda , 1 décembre 2014 @ 1 h 59 min

  Éric Zemmour aborde plusieurs points que j’ai retenus :

  – Loi de dérogation de 1975 dévoyée, ce que reconnaît Mme Veil elle-même ;
  – Pressions sociales et gouvernementales pro-avortement et interdictions d’aborder
  les solutions alternatives à l’IVG ;
  – La liberté de conscience du corps médical bafouée ;
  – La liberté d’expression bafouée * ;
  – Baisse de la démographie (c’est un fait)
  – Culture de mort en parlant de l’avortement.

  À juste titre, il estime que nous subissons une dictature de la pensée et de la conscience à sens unique, contre laquelle il s’élève et qu’il dénonce : voilà le message qu’il veut transmettre, ni plus ni moins, comme d’ailleurs il le fait pour de nombreux autres sujets. Et je partage pleinement son avis.

  Quant à Nicolas Domenach et consorts, je les invite à retourner à leurs chères études en reprenant à zéro des cours sur la biologie.

  PS. : * Jacques Bompard a subi honteusement des quolibets de la part de certains de ses pairs lors de son allocution à l’Assemblée Nationale, et Le Plus-Nouvel Obs, notamment, dans un article tout récent, en remet une couche.
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  HIBISCUS , 1 décembre 2014 @ 21 h 01 min

  entièrement d’accord avec vous, j’ai vu la vidéo
  d’un avortement, l’enfant essaie d’échapper
  à l'”aspirateur” CHOQUANT!! C’est d’autan plus
  étonnant que le foetus; comme certains aiment
  à l’appeler, sent qu’il est en danger et lutte pour
  survivre.
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  Guy Lux , 1 décembre 2014 @ 22 h 37 min

  Cap 2006 le troll franc mac de service
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  kanjo , 6 janvier 2015 @ 23 h 04 min

  Cap2006
  que faites vous du droit de l’enfant à disposer de son corps, donc à rester en vie ? La mère, quand elle a fait l’amour (ou même simplement baisé) pendant sa période féconde, elle a disposé de son corps, et elle savait très bien que dans cette situation, dans 25% des cas, une grossesse survient. Qu’elle assume ses choix ! Les grossesses prétendument non désirées sont soit le fait d’hommes égoïstes qui obligent leur femme à “ne pas garder” l’enfant qu’ils ont bien voulu lui faire, soit de femmes irresponsables, soit, et c’est le pire, des pauvresses qui subissent une pression sociale et financière.
  Et ne me parlez pas du viol, c’est un faux débat. Après un tel traumatisme, on peut rêver de tuer le violeur mais on n’imagine même pas tuer le petit innocent qui est lui aussi une victime. Proposer l’IVG à une femme qui a été violée, c’est se dédouaner à bon compte pour ne pas avoir à la secourir puisqu’elle “aura réglé cela toute seule”. Comme s’il suffisait de tuer l’enfant pour pardonner au père !

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