Eric Zemmour : “Ce n’est pas infamant d’être contre l’avortement au nom de la vie des enfants”

47 Comments

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  Gisèle , 29 novembre 2014 @ 18 h 53 min

  Sauf qu’imposer le refus de l’avortement ne génère pas les conséquences graves que génère l’ acceptation de cet acte mortel .
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  Pascal , 29 novembre 2014 @ 19 h 04 min

  Le nombre d’ivg reste stable mais élevé depuis 1975 :
  http://www.la-croix.com/Actualite/France/Quarante-ans-apres-la-loi-le-nombre-d-avortements-ne-baisse-pas-2014-11-26-1270173

  Toutes les études sérieuses montrent une corrélation entre le niveau d’éducation des femmes et le taux de fécondité. Par exemple l’Iran islamique qui n’est pas réputé pour sa libération des mœurs mais qui a fait un effort notable en matière d’éducation des femmes a un taux de fécondité comparable au nôtre.
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  Robert , 29 novembre 2014 @ 20 h 25 min

  Cap2006
  À propos de la comparaison avec la fécondité allemande, là-bas, la stérilisation y est plus répandue.
  À propos d’avortement, il ne s’agît pas d’une idée qu’on peut partager ou pas, mais de la mort d’un enfant qui vivra ou pas. On ne fera pas revivre l’enfant qui ne sera pas né.
  Et contrairement à votre affirmation, la responsabilité consiste à assumer sa responsabilité et pas à la faire payer à un autre.
  D’autre part, les couples ayant recours à l’avortement sont plus fragiles et sujets au divorce et la séparation et les femmes ayant avorté subissent toutes des séquelles durables, beaucoup ont des attitudes suicidaires ou des addictions.
  Ce que vous ou nous souhaitons, cela ne regarde que nous, mais ce qui est objectivement bon ou mauvais scientifiquement et moralement, est une norme universelle qui seule doit définir des choix sociétaux.
  Avec la légalisation de l’avortement, le moindre citoyen se permet de décréter la mort d’un être humain, non pas en devenir ou potentiel, mais réel et qu’on peut soigner in utero.
  Sans ces neuf mois de grossesse pour vous et moi, notre conversation n’aurait d’ailleurs jamais eu lieu, c’est cela la seule réalité objective.
  Notre société est devenue dure aux faibles, les femmes subissent l’irresponsabilité, la leur et celle des hommes, sans avoir réellement droit de choisir quand la pression est plus forte que leur courage.
  Mais souvent, ceux qui défendent l’avortement ont été complices ou le seront dans l’avenir et veulent pouvoir se débarrasser de leur responsabilité couverts par la société.
  Cela porte un nom, la lâcheté.
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  isa , 29 novembre 2014 @ 23 h 03 min

  Mais ceux que vous ne comprenez pas c’est que le choix il existe AVANT la conception d’un être. Après on tue un innocent. Le choix que l’on a c’est de l’aider ou non à vivre. Nous n’avons pas le choix de vie ou de mort sur les autres , ni sur nous-même d’ailleurs. Certes nous sommes libres de croire en Dieu. Mais au bout du compte il y aura bien un “Grand Ordonnateur” et nous serons jugés par Lui. Le seul qui soit mort et ressuscité, dont la Mère fait des miracles à Lourdes et qui nous prendra dans son Paradis si nous en sommes dignes. Vous avez le choix de dire oui à Dieu. Mais ce n’est pas de votre pouvoir de dire ce qui est bien.Il existe avant vous , vous avez le choix de lui obéir ou non et d’en assumer les conséquences. Comme nous tous, croyants ou incroyants!
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  brandenburg , 30 novembre 2014 @ 7 h 40 min

  La ferme!
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  brandenburg , 30 novembre 2014 @ 7 h 43 min

  Mon commentaire a été mal placé:il s’adresse à cap je ne sais quoi:je redis donc :la ferme!
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  Cap2006 , 30 novembre 2014 @ 8 h 13 min

  Enfin une réaction constructive, je vous en remercie.

  La pauvre jeune fille, ( c’est certain, il faut qu’elle soit demeurée la pauvresse pour ne pas vivre dans l’abstinence comme tous les commentateurs ici présents) tombe enceinte.
  Après lui avoir dit “c’est bien fait, t’avais qu’à écouter notre bon seigneur” ou si vous faites preuve dune bienveillance toute chrétienne ” c’est super de foutre tes études en l’air et detre obliger d’épouser le divin salaud qui t’a fais ça , pour quun petit nenfant remplisse ta vie du seul role intéressant que dieu t’a confié. ”

  QUE FAITES VOUS POUR L ACCOMPAGNER?

  Ps : interdire ou non l’avortement ne les fait disparaître, pas plus qu augmenter. Et cela na aucune incidence sur la natalité. Pour reprendre vos termes, ne pas tuer l’enfant non désiré, cest limiter l’accès à la vie à d’autres enfants qui seraient eux désirés.

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