Si notre pays n’échappe pas aux pollutions diverses qui endommagent l’équilibre écologique planétaire, et si l’on parle beaucoup de pollutions atmosphériques, sonores ou visuelles, il y a en une dont on ne parle jamais et qui est, pourtant, la conséquence d’un trop important apport exogène de populations venues d’ailleurs : la pollution de nos valeurs et de nos lois républicaines, tissées par des siècles de culture chrétienne.
Partout, la gangrène communautaire déséquilibre notre “écosystème” social et met à mal les relations d’interdépendance des énergies de toutes les couches de la population, indissociablement nécessaires au bon fonctionnement de toute société normalement constituée. Plus un coin de nos cités ou de nos quartiers, n’est épargné. L’arrogance, l’incivilité et la délinquance (quelquefois meurtrière) s’installent, avec l’aval de certains élus, gauchos de la République, qui “niquent” la France, mais aussi avec d’autres, plus sournois, qui organisent le délitement de nos valeurs : les élites autoproclamées du politiquement correct. Celles qui fabriquent la désinformation, qui triturent les statistiques et qui, au final, croient à leurs mensonges. Celles, aussi, qui prônent le mariage pour tous, la théorie du genre et du sexe neutre. Sans oublier, les diverses associations “caritatives” spécialisées dans l’accueil de tous les déviants, divers et variés, clandestins compris.
En refusant de voir les interrogations et les désagréments que le communautarisme suscite chez nos concitoyens, tous ces bien-pensants organisent la dénaturation de notre pays. S’ils veulent nous faire croire que “l’immigration est une chance pour la France”, comme ils disent, c’est parce que cette immigration ne les concerne pas : ils habitent là où il y a le moins de peuplements ou de concentrations hétéroclites. Loin du mixage ethnique obligatoire. Pour eux, l’immigration est choisie et ils ne voient que l’aspect positif du brassage des cultures, ou, pour les plus perfides, le profit économique qu’ils peuvent en tirer. À court terme ! Un jour, eux aussi, seront submergés par le problème…
Personne ne peut nier que l’immigration ait été, pendant longtemps, une ressource économique importante et que l’apport de cultures différentes est toujours intéressant… culturellement. Tant qu’il ne s’agissait pas de culture incompatible avec nos principes démocratiques chrétiens. Car c’est là où le bât blesse : comment intégrer – souvent, elles s’y refusent – des populations soumises à une religion qui a édicté un code, la Charia, supposé supérieur à toute loi humaine ? Qui dit quoi, sur l’égalité, la fraternité et la liberté ? Que pour un musulman convaincu, l’égalité n’est possible qu’entre musulmans ; le non-musulman est inférieur, et la femme, aussi ! Que la fraternité n’existe qu’entre frères… musulmans ! Et que la liberté, chez nous, individuelle et inaliénable, ne se conçoit, dans l’Islam, que subordonnée à la communauté. Ces trois notions structurantes de notre société, “liberté, égalité, fraternité”, sont totalement inconnues et incompréhensibles pour les adeptes de la Charia.
Le président, Macron, peut toujours aller rompre le jeûne du Ramadan avec les “savants” de l’Islam et prêcher que cette religion sera, un jour, compatible avec la République, il n’en reste pas moins que la majorité des instances représentatives de l’Islam et des mosquées de France ont, récemment, rejeté “la charte de l’imam”, qui prônait le respect de la laïcité et des lois de la République, le dialogue interreligieux et le rejet de toutes violences au nom de Dieu. On se demande bien pourquoi ? Pourtant, elle avait été rédigée par le CFCM (Conseil français du culte musulman)…
Et pendant ce temps-là, la France s’apprête à accueillir encore plus de migrants venus des pays du Maghreb…
Claude PICARD
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