Exclusif : Véronique Monguillot, l’épouse du chauffeur du bus de Bayonne, ne veut pas des paroles mais des actes. Sans attendre !

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  Droal , 28 juillet 2020 @ 10 h 47 min

  Madame Monguillot ne connait pas les jeunes, ni son mari, semble-t-il.

  Sinon, Monsieur Monguillot serait encore vivant.

  Travaillant en terre d’Islam depuis 28 ans, il y a quelques règles à respecter pour perdurer dans l’existence.

  Et notamment soigner la NON RELATION, qui doit être d’une qualité irréprochable.

  A Bondy, dans le 93, j’ai fait travailler de nombreux jeunes arabo-musulman. La plupart se recommandaient de la branche traditionnelle de l’Islam, celle de Mahomet et nettement moins nombreux, ceux attachés à la branche moderne, celle de Ben Laden.

  Il y a quelques mois, j’ai fais travailler un arabo-musulman qui avait moins de la moitié de mon âge. Il m’a demandé si on pouvait se tutoyer.

  Je lui aie dit, en substance, qu’on n’était pas là pour rigoler, mais pour travailler.

  Que le fait qu’il soit un Français d’origine africaine ne l’autorisait pas à user de familiarité, de créer une proximité qui n’existe pas, avec un Étranger d’origine bretonne.

  Chacun chez soi et les Républicains seront bien gardés.

  Monsieur Monguillot aurait du savoir qu’on ne demande RIEN, et surtout qu’on ne donne pas des ordres, à des jeunes qui vivent en l’An 1441 de l’Hégire et qui considèrent les non musulmans comme des kouffars/dhimmis, voire comme des sous-merdes venimeuses et fauteurs de crimes contre l’Humanité.

  Évidemment, l’identité de sous-merde est plus gratifiant que d’être considéré comme rien par le Président de la République de ce pays.

  Mais, encore une fois, on n’est pas là pour rigoler.

  Et de fait, on ne rigole pas.

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