Retenez bien ce nom, Fabienne Buccio, préfète du Pas-de-Calais dont la mission est de représenter la République Française, autrement dit la France, dans sa région. Ce qu’elle vient de déclarer sur fond d’incendie de la jungle sur laquelle elle a veillé avec tant d’indulgence est ahurissant. J’ai honte pour elle.
Interrogée par BFMTV sur l’incendie des commerces et baraquements de la jungle, avec la plus grande candeur et un large sourire (un peu gêné quand même), Madame la Préfète a excusé les migrants pour qui il est une tradition ancrée dans leurs mœurs les plus intimes : celle de mettre le feu à leur habitat lorsqu’ils le quittent. Je cite ! « Cela fait partie de la tradition de cette population migrante de détruire leur habitat avant de partir. Cet incendie n’est pas une surprise, nous avons l’habitude de ce comportement. Ça fait deux semaines que nous avons des incendies. Cela veut dire qu’ils ont compris que le camp de Calais, c’était fini ! »
Le journaliste demande s’il n’y avait pas eu moyen de les empêcher de jouer aux incendiaires. Réponse de la préfète : « On a beaucoup discuté avec les chefs des communautés (Ah ! Information intéressante, donc, il y a avait des chefs de bande qu’on a laissé libres de jouer aux maires d’un campement illégal ?) » Mme Buccio, toujours avec le plus large et innocent sourire, avoue même les rencontrer régulièrement et que la tradition bien ancrée chez eux ne pouvait pas être interdite : « Quand on s’en va, on nettoie en mettant le feu » lui ont répété ces « chefs de communautés » dont on aimerait bien savoir qui ils sont ? Des imams ? Des chefs de tribu ? Et la préfète d’expliquer que connaissant bien cette situation à laquelle on s’était adaptée, on avait pré-positionné les pompiers qui sont là 24 heures sur 24 et qu’effectivement, l’incendie avait pu être surveillé et maîtrisé tout au long de la nuit.
“Ces ‘migrants’ qui sont tous des délinquants parvenus chez nous sans visa, sans autorisation, ont désormais tous les droits.”
Et Manuel Valls, notre futur ex-Premier ministre, de déclarer avec le plus grand sérieux que l’évacuation de la jungle s’était déroulée superbement bien ! Mais oui, bien sûr. Et si on mettait le feu à l’Élysée et à Matignon lorsque leurs locataires déménageront pour d’autres cieux, pour respecter la tradition de leurs amis migrants ?
Eh ! Oui, cher lecteur et chère lectrice, vous avez bien lu : la République se couche devant ces hommes venus d’ailleurs, nous imposant leurs traditions quitte à épuiser des pompiers et autres secouristes. La République socialiste n’a plus de courage, et encore moins de c…, pour imposer le simple respect de ses lois. Tout pour le clandestin, le migrant, une appellation qui ne veut d’ailleurs rien dire mais qui permet à nos oreilles distraites de comprendre que ce sont de pauvres hères qu’il faut accueillir à tous prix.
Ces « migrants » qui sont tous des délinquants parvenus chez nous sans visa, sans autorisation, ont désormais tous les droits. On vient d’ailleurs d’apprendre que 70% de ceux qui vivaient dans cette jungle infâme sont désormais sous le régime du droit d’asile.
Messieurs et Mesdames les politiciens, au secours ! Venez vite balayer ces hommes et femmes mises en place par cinq ans de socialisme qui n’ont aucune notion des valeurs françaises ni simplement du simple respect des lois.
Ah, quand il s’est agit de faire taire le général Piquemal ou les jeunes identitaires venus défendre les Calaisiens, l’autorité de l’État n’a pas failli une seconde. Il s’agissait, il est vrai, de faire cesser ce communautarisme franco-français ringard et malfaisant.
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