La question familiale ne se limite plus au mariage homosexuel ni aux manuels scolaires. Ce qui couve, c’est bien une révolution.
L’identité, l’intégration et la cohésion nationale : une affaire de famille
Les fractures de la société française actuelle ne sont que le fruit de choix qui lui ont été imposés par un système pervers. Depuis 40 ans, le divorce, l’avortement et bien d’autres petites choses encore ont affaibli, abîmé et fragilisé des millions de Français et leurs ménages.
Depuis 40 ans, chaque année, ce système abject a refusé la vie à 200 000 enfants à naître. La nature ayant horreur du vide et la « croissance » ayant besoin de bras, ce sont 200 000 étrangers qui sont venus chaque année les remplacer, avec leurs habitudes, leur culture, leur religion. On connaît la suite : la « croissance » n’est jamais venue, et les dirigeants de la France ont été incapables de fournir ni les structures morales, ni les emplois à ces nouveaux venus. Mieux : les structures, ils les ont abattues, Depuis 40 ans pour être naturalisé français, plus besoin de « franciser » son nom. Devant de tels abandons, les nouveaux arrivants ne peuvent que se retourner, déçus, vers leur ancienne culture et leurs propres racines. Se lamenter de voir brandir des drapeaux algériens d’un côté et autoriser le mariage homosexuel de l’autre c’est être fou, ou pervers, ou les deux. Comment espérer une adhésion aux valeurs éternelles de la France alors que nos propres dirigeants les foulent au pieds ?
Depuis 40 ans, le rêve français n’existe plus. « Giscard m’a tuer ».
“C’est une arnaque, une pyramide à la Ponzi que nous impose une clique de stipendiés avec force coups médiatiques, chroniques et éditos, expertises et économistes subventionnés par eux, qui nous expliquent chaque année que présenter un budget en déficit de 3% est déjà bien trop ‘austère’ ou ‘rigoureux’.”
L’économie, encore une affaire de famille
Bizarrement la licence morale a contaminé l’économie. La ligne rouge franchie à partir de 1975 l’a été aussi dans les comptes de la nation.
Quel patron serait assez fou pour expliquer à ses actionnaires que des pertes d’exploitation vont générer un revenu supplémentaire dans le futur ? Quel investisseur, quel client, quel salarié serait assez fou pour y croire ? C’est une arnaque, une pyramide à la Ponzi que nous impose une clique de stipendiés avec force coups médiatiques, chroniques et éditos, expertises et économistes subventionnés par eux, qui nous expliquent chaque année que présenter un budget en déficit de 3% est déjà bien trop « austère » ou « rigoureux ». Le mot même de « déficit » a perdu sa portée, il est devenu un « élément de langage », un mot jargonneux, on ne sait plus très bien ce que signifie un « déficit ». Dans cette forme de perversité comptable, le seuil de ne se situe plus à 0% mais à -3%… Tant pis pour leurs théories fumistes si la croissance galopante des trente glorieuses s’est arrêtée précisément l’année du premier déficit… Tant pis si les fonds souverains étrangers qui, eux, sont abondés d’excédents budgétaires se paient le patrimoine français.
Depuis 40 ans l’habitude a été prise de voter un budget national en déficit : il n’y a plus de bon père de famille à la tête de l’Etat, ni à présent dans le code civil.
Ces déficits cumulés annuels représentent aujourd’hui la somme colossale de 2 000 milliards. Cette somme ne correspond à aucun actif, aucun bien que les Français détiendraient aujourd’hui. Elle n’est que le cumul d’un découvert reporté d’année en année, un peu comme un ménage surendetté qui aurait additionné les prêts à la consommation pendant 40 ans pour se payer du personnel domestique. Il y a pourtant encore des avocats à belle gueule et aux chaudes intonations de voix pour plaider la noble cause du crédit revolver en proclamant qu’il faut continuer à creuser ce déficit sur le dos des Français et enrichir les banquiers qui le financent.
“Lorsqu’on détruit la famille et plombe les finances, on ne vient pas pleurnicher face caméra d’avoir 15% de chômage. On s’exile, on va se cacher, on se fait tout petit. On ne fait pas sa grande bouche à la fête de la rose !”
Ces 2 000 milliards pèsent sur l’économie réelle, celle des PME qui emploient 80% des salariés du privé et génèrent l’essentiel de la recette fiscale. Et qui investit dans ces PME pour les soutenir ? Bercy ? Les banques ? Les fonds de pension US ? Non. Je vous le donne en mille : les familles. 85% des PME sont capitalisées par les familles. La performance économique des sociétés familiales est supérieure à celle des sociétés anonymes, et leurs salariés se sentent globalement mieux dans la boîte de papa. L’essentiel de l’emploi productif du pays repose sur notre bonne vieille famille et leur capacité d’investissement.
Lorsqu’on détruit la famille et plombe les finances, on ne vient pas pleurnicher face caméra d’avoir 15% de chômage. On s’exile, on va se cacher, on se fait tout petit. On ne fait pas sa grande bouche à la fête de la rose !
Aller dans la rue le 5 octobre : toujours une affaire de famille.
Car la somme de nos petites lâchetés individuelles cumulées depuis 40 ans fait monter l’addition jusqu’à la rendre insupportable. Le temps du sursaut, du refus et de la résistance approche. L’heure va sonner de faire la synthèse de toutes les erreurs passées, de relever la tête, de se retrousser les manches et de dire NON. Il faut donner un nouveau rêve à la France, libérer ses familles étouffées, cesser la spirale des déficits et de la destruction des emplois.
Du PCF au FN les élus et les dirigeants sont toujours autistes pour ce qui concerne la famille. A quoi sert de voir un FN caracoler en tête des sondages s’il fait sien les idées du lobby LGBT ou les travers déficitaires de l’UMPS ? Seuls quelques courageux isolés, de gauche ou de droite, ont pris la parole, mais leurs rangs sont bien maigres. Voir Christiane Taubira maintenue à son poste et la hussarde noire Najat Vallaud promue est un affront de plus, une humiliation nouvelle pour les millions de Français mobilisés depuis 2 ans.
Ce que ni les institutions, ni les partis ne veulent donner, la seule issue pour les français est de le prendre dans la rue.
> Le site de la Manif pour Tous
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