Le Festival de Cannes récompense un film qui fait l’apologie du lesbianisme avec une mineure

Eric Martin
27 mai 2013
Latest Update: 17 octobre 2017 17 h 19 min
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La vie d’Adèle, Chapitre 1 et 2, d’Abdellatif Kechiche, vient de remporter la Palme d’or du Festival de Cannes 2013. En plein débat français sur la dénaturation du mariage, qui suit lui-même une offensive commencée il y a plusieurs décennies pour banaliser et normaliser le comportement homosexuel, le jury que présidait cette année Steven Spielberg récompense donc un porno lesbien de trois heures mettant en scène une mineure (dans le film). Un hasard, sans aucun doute ! Quant au réalisateur franco-tunisien, il ose dédier son film à la jeunesse tunisienne. On espère pour la Tunisie qu’elle vaut un petit mieux que Léa Seydoux, qui a commencé en 2005 dans Mes Copines (l’histoire de lycéennes, mineures, obsédées par l’idée d’avoir… un orgasme) et qui a bien compris que montrer son c… est, au cinéma, encore plus efficace que coucher. Pas de doute, Adèle Exarchopoulos est à la bonne école ! Pour revenir à Abdellatif Kechiche, il a osé affirmer qu’“(il n’avait) pas eu envie de faire un film militant ou avec un discours sur un thème précis, ici en l’occurrence l’homosexualité”. Mais ajoute immédiatement après avoir voulu “raconter l’histoire d’un couple, du couple”. Étonnant quand on sait qu’un couple, sauf du point de vue des militants LGBT, c’est un homme et une femme ! “La problématique de l’homosexualité, je ne voyais pas pour quelles raisons je l’aborderais spécialement, car la meilleure façon, si je devais avoir un discours sur ce sujet, ce serait de ne pas en avoir, de filmer cela comme n’importe quelle histoire d’amour”, affirme-t-il par ailleurs, à peine militant comme chacun peut constater… Le réalisateur a laissé des souvenirs mitigés à son équipe de tournage qui relève ses caprices, son manque d’organisation et de respect pour les techniciens ainsi que les règles du droit social français. Le tout Cannes a les yeux béats d’admiration.

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Hubert , 28 mai 2013 @ 17 h 05 min
@Tiphaine
“L’art « officiel », c’est celui des régimes totalitaires”

Et ben justement, c’est ce que tout le monde dit ici !
L’art officiel au cas où vous ne l’auriez pas encore compris, c’est la pornographie à tous les étages et le régime totalitaire, c’est celui où nous vivons aujourd’hui avec sa police de la pensée !

Kechiche, il fait de l’art officiel. Et le totalitarisme est tellement bien huilé qu’il ne le fait pas sur commande, il devance les désirs du gouvernement. Quel sens politique ! Quel patriote ! Bravo l’artiste !
isimax , 28 mai 2013 @ 17 h 15 min
Il faut bien dire qu’on ne peut plus aller au cinéma sans que quasi systématiquement, on nous impose un ou des homos dans chaque film, C’est lassant , on en a marre . Durant toute ma vie, jusque là, j’ai côtoyé des hommes et des femmes et je ne me posais pas la question de connaître leur orientation sexuelle.
Au train où vont les choses, il faudra, bientôt se présenter en disant: “untel, homo ou hétéro, ou trans ou bi ” et que sais-je encore ?
itou , 28 mai 2013 @ 17 h 41 min
Ce film est une apologie de l’homosexualité, film promotionnel avec probablement subventions de la communauté européenne ou du ministère de la Kultur. L’image doit être talentueuse, le vulgum ne manquera pas d’y voir une oeuvre d’art, d’aimer les émois du sexe à l’envers.- et donc de faire des émules chez les ado indéterminés à qui l’on a rabâche qu’il est libre de choisir son sexe.. Je tolère les homosexuels quand il ne s’en glorifient pas trop et ne la ramènent pas à tout bout de champs. Mais dès lors qu’ils font parler d’eux, sans cesse avec véhémence un peu comme étaient les nazi ou les bolcheviks qui intimidaient les bourgeois des années trente, je sens alors la colère m’envahir. Est ce qu’on la ramène nous avec notre hétérosexualité ? non bien sûr. Alors pourquoi portent ils leur sexualité de façon revendicative, comme un étendard, avec agressivité en traitant les autres d’homophobes. Leur visées hégémoniques agressives et haineuses envers le commun des mortels que nous sommes nous hétéro, creuse une vraie fracture dans la population. Je n’accepte plus que l’on nous affuble, nous la majorité des gens normaux, du qualificatif homophobe. On voudrait créer une guerre civile que nos dirigeants ne s’y prendraient pas mieux pour exciter l ‘animosité entre les partis. On peu faire la même observation dans le domaine de l’immigration….curieux curieux !
itou , 28 mai 2013 @ 17 h 50 min
C’est un “art convenu” que seuls les homosexuels apprécieront. Pour ma part il me donne la nausée. De là à lui donner la palme d’or … Mais cela est logique quand ont voit de quoi est fait le jury. ” l’amour entre une fille majeur et une fille mineur”. Voilà qui est dit, pour reconnaitre un tel ” amour , demain vous revendiquerez la levée du tabou de l’inceste. Mais détrompez vous c’est prévu.
ghislain , 28 mai 2013 @ 18 h 06 min
Comme disait un de mes professeurs “la subversion est souvent bien plus grande quand on ne fait que suggérer la sexualité.”
Je n’ai pas vu la vie d’Adèle, je ne sais donc pas a quel degré c’est érotique…
Hubert , 28 mai 2013 @ 18 h 27 min
Il avait raison. Sans parler de subversion, il est certain que la chose suggérée est plus puissante que dans sa crudité nue.

C’est dans la tête que ça se passe.

En ce qui concerne Adèle, j’ai cru comprendre que vous aurez droit à 15 minutes sans buée.
stephan_toulousain , 28 mai 2013 @ 18 h 39 min
La France est experte dans l’art de primer des navets.
Je ne pense pas que cela arrangera le cinéma Français.

ce film passera dans la catégorie de film porno, avec ses clients habituels.