…de plus en plus fou, qui marche sur la tête et qui perd ses repères. Des nations européennes qui ne sont plus dirigées que par des gouvernements fantoches, vassaux de Bruxelles, et qui, à part gérer une régression affligeante ou une décadence misérable, n’ont plus d’autres possibilités. Une finance internationale qui règne en maître et une économie réelle qui a perdu tout son sens. Bref, nous avons là tous les ingrédients pour aller allègrement dans le mur. À grande vitesse !
Comment en sommes-nous arrivés là ? Parce que le système, mis en place par la finance internationale, n’a qu’une obsession : remplacer un maximum de citoyens par des consommateurs décervelés, assommés et abrutis par la publicité, n’ayant plus la capacité de faire le moindre effort intellectuel pour comprendre ou pour juger, fascinés par l’argent facile et uniquement soucieux de leur bien-être individuel immédiat. Ce but est déjà atteint dans de larges couches de la société, celles qui, encore, dominent la politique, la culture et les arts, les médias traditionnels et l’information. Beaucoup moins dans la majorité d’un peuple qui sait garder son bon sens populaire parce qu’il a d’autres préoccupations autrement plus terre-à-terre.
Mais on peut tout de même se faire du souci, en France, quand on constate les dégâts faits à l’école – pilier de la société – par une succession de réformes, les plus abracadabrantes les unes des autres. Comme la théorie du genre, instillée dès les plus petites classes ou les conférences organisées, en milieu scolaire, par des militants de l’association LGBT, la réforme de l’orthographe (suppression de l’accent circonflexe…), l’amputation de pans entiers – souvent essentiels – de l’enseignement de l’histoire ou encore, l’abandon de la référence à l’écriture que sont le latin et le grec. Tout ceci au bénéfice des Enseignements Pratiques Interdisciplinaires (EPI), une espèce de machin informel, laissé au bon vouloir des chefs d’établissement, qui remplace des heures consacrées au savoir. Un comble pour une école normalement faite pour instruire.
On peut aussi être atterré par certaines dérives “culturelles”. L’exemple du chanteur barbu, maquillé et habillé en drag-queen, qui gagna l’Eurovision en 2014, pas pour son talent de chanteur, mais pour sa spécificité physique au nom de la différence sexuelle et de la tolérance, est emblématique de la déliquescence de l’élite médiatique. Qui ne sait plus rien discerner, la vue probablement embuée par les vapeurs de shit et autres drogues circulant en abondance dans ses allées ; au profit de qui ? Il est vraisemblable que l’idéologie du “il est interdit d’interdire”, très prégnante dans ces milieux artistiques, y soit aussi pour quelque chose, n’en doutons pas. Rajoutons pour la petite histoire, mais qui en dit long sur la dégénérescence d’un monde, que le fameux chanteur fut reçu officiellement par le chancelier autrichien et le secrétaire général de l’ONU, mais également au Parlement européen, toujours au nom de la tolérance, mot magique pour toute “l’élite progressiste”…
Il vaut mieux en rire, mais ce serait tragique si le réveil des consciences des peuples tardait à venir. Heureusement, des lueurs d’espoir, deci delà, accentuent l’assurance que tout n’est pas perdu. Élections après élections, sondages après sondages, majoritairement nos concitoyens expriment leurs déterminations d’en finir avec une élite déconnectée. Les observateurs – les mieux avertis – sentent bien que les nations européennes sont exaspérées. C’est bien ce qui fait peur à nos gouvernants. Paniqués, ils ne savent plus quoi inventer pour garder leurs prébendes. Mais, pour eux, c’est déjà trop tard ; c’est maintenant aux peuples de s’affirmer ! Vite !
5 Comments
Comments are closed.