Marc Fiorentino : “On nous demande de payer l’impôt sur les revenus non-déclarés des Grecs, c’est un petit peu énervant, non ?”

Eric Martin
27 février 2015
Latest Update: 27 février 2015 10 h 14 min
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Dans “Good Morning Business” du 26 février sur BFM Business, Marc Fiorentino se penche sur les véritables défis qui attendent le gouvernement grec, après avoir obtenu un accord avec Bruxelles sur la prolongation du plan d’aide à Athènes. Il estime que la tâche ne sera pas facile pour le gouvernement en place, et même que la Grèce ne pourra jamais rembourser sa dette. Pour une raison simple : les Grecs ne paient pas d’impôts et il n’y a pas d’administration fiscale dans le pays.

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hectorgalb , 27 février 2015 @ 12 h 03 min
Un pays où on ne paye pas d’impôts, le pied ^^
Goupille , 27 février 2015 @ 23 h 39 min
Le problème, ce n’est pas la Grèce, c’est l’Europe.

Fallait pas voter pour Maastricht.
Psyché , 28 février 2015 @ 11 h 04 min
Si la Grêce quitte l’euro puis l’Europe et puis tous les pays ainsi un par un, ça me va bien.
Dommage que Syriza soit un parti-leurre sans couilles …
Pascal , 28 février 2015 @ 12 h 23 min
Le non paiement de l’impôt par les Grecs est une légende. Il est peut-être mal réparti entre les différentes couches sociales, mais cela est une autre question. La Grèce a aujourd’hui un même niveau de recettes fiscales que l’Allemagne :

http://russeurope.hypotheses.org/3492
tournesol , 28 février 2015 @ 16 h 44 min
Un grec vaut deux juifs me disait une amie grecque.
Ça se confirme et l’Europe reste les bras croisés par peur de faire tout exploser.
Bravo Hollande , lui qui avait dit, on va voir ce qu’on va voir avec moi président.
charles-de , 28 février 2015 @ 23 h 11 min
On emprunte, on emprunte pour leur prêter, et ils nous rembourseront aux calendes grecques, bien entendu !
Psyché , 1 mars 2015 @ 12 h 58 min
Il ne faut pas sous estimer ce qui se passe en Grèce, nous assistons à l’anéantissement d’un pays. Tout ce qui se passe dans ce pays, est un prologue à ce qui va nous tomber dessus tôt ou tard. La Grèce sert de laboratoire au plan mondialiste de soumission des nations. On sacrifiera les plus faibles, sans se soucier des peuples, et ce sont eux comme toujours, qui paieront le prix fort.

http://lesmoutonsenrages.fr/2015/03/01/m-khazin-economiste-russe-remarques-pertinentes-sur-la-situation-grecque/