“Nous ne voulons plus de Mittal en France parce qu’ils n’ont pas respecté la France”, a déclaré Arnaud Montebourg dimanche dans un entretien aux Échos. “Les mensonges de Mittal depuis 2006 sont accablants”, a continué le ministre du Redressement productif, assurant que le groupe n’avait “jamais tenu ses engagements” vis-à-vis de l’État français. C’est vrai mais le pouvait-il seulement ?
Endetté à hauteur de 18 milliards d’euros au point de fermer temporairement son siège du Luxembourg, ArcelorMittal “ne va pas bien”, constate Nicolas Doze ce lundi sur BFM TV. Et “Mittal emploie 20 000 personnes en France sur 150 sites”. Lui demander de partir est donc une véritable ineptie :
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