La NHS, le service public de santé anglais, estime que les enfants qui se pensent transgenres traversent une phase et entend désormais:
-décourager les changements de prénoms/noms
-bannir les bloqueurs de croissance chez les enfants /adolescentshttps://t.co/pZxmWQcNc7— Valérie Kokoszka (@vkokoszka) October 24, 2022
Elle luttera également contre l'obtention de bloqueurs et traitements hormonaux obtenus sur circuits parallèles.
Elle mettra en place des centres de prise en charge holistiques, capables d'évaluer les demandes.— Valérie Kokoszka (@vkokoszka) October 24, 2022
Si la NHS ne nie pas la réalité de la dysphorie de genre ou l'existence de mineurs transgenres, elle estime qu'ils sont très peu nombreux, et s'inquiète de l'explosion des prises en charge, passées de 250 en 2011 à 5000, et de leurs conséquences médicales à long terme.
— Valérie Kokoszka (@vkokoszka) October 24, 2022
Si cela se confirme, c'est une information de première importance, un début de retour à la raison.
— Jo Zefka (@JZefka) October 24, 2022
De ce que je lis sur les différents sites, les bloqueurs de puberté ne seraient pas entièrement bannis mais très limités et très strictement encadrés dans le cadre d'études cliniques, ce qui permettrait d'éviter les charlatans et de mieux en mesurer les conséquences systémiques.
— Valérie Kokoszka (@vkokoszka) October 24, 2022
Futur scandale sanitaire pour les nombreux enfants à qui on en a prescrit de manière inconsidérée et espérons qu'on en tire les leçons…
— Alec Eiffel (@BalecEiffel0) October 24, 2022
Il ya de véritables inquiétudes tant sur les traitements hormonaux (ostéoporose, cancers hormone-dépendants) que sur les bloqueurs de croissance dont on ne connaît pas les effets à long terme d'où le souhait de restrictions drastiques à l'usage + études cliniques.
— Valérie Kokoszka (@vkokoszka) October 24, 2022