Après chaque attentat, qui fait basculer la France un peu plus vers le désordre et le chaos, il est inquiétant de constater, face à la violence des attaques, le désarmement moral de la France et des Français. Combien de morts faudra-t-il encore pour que la réplique soit à la hauteur du défi que nous lancent les fous d’Allah ? Les incapables qui nous gouvernent vont-ils enfin comprendre que le cancer islamiste diffuse ses métastases partout sur notre sol et qu’il contamine les plus fragiles, les moins armés, intellectuellement, pour résister à la sauvagerie “salvatrice” inculquée par certains versets d’un livre, le Coran, écrit au huitième siècle et jamais expurgé ? Certes, tous les musulmans ne sont pas islamistes, mais tous les islamistes sont musulmans… Et l’ennemi est désormais à l’intérieur ! Un sondage du Pew Research Center indiquait en 2007, que 35 % des musulmans français soutenaient les attentats islamistes, et que ce chiffre montait à 42 % lorsque l’on interrogeait les moins de 30 ans. Combien sont-ils aujourd’hui ?
Malheureusement, le gouvernement socialiste, prisonnier de l’idéologie de l’excuse et de la repentance, ne veut rien voir et reste dans le déni permanent des réalités. Sa fameuse société fantasmée du multiculturalisme coule à pic, mais il continue à prétendre que “tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil”… À moins d’être débile, plus personne n’y croit ! Pas besoin d’être polytechnicien ou d’avoir fait de hautes études, pour observer que le communautarisme, avec son cortège d’habitudes importées, s’installe partout en France et qu’il entraîne la sécession de pans entiers de notre territoire. Favorisé par une immigration massive et à flux continu de 200 000 entrées légales chaque année (combien d’entrées clandestines ?), ce communautarisme concentre, forcément, tous les enfermements idéologiques, religieux et culturels, de populations qui deviennent, du fait de leur nombre, incapables de s’assimiler ou de s’intégrer. Pour quelques-unes, il est même de bon ton de refuser l’intégration et d’affirmer leur différence. Pour celles-ci, on ne peut plus rien. C’est déjà trop tard !
Jusqu’à quand allons-nous supporter le laxisme de nos gouvernants ? Leur responsabilité dans la gestion de tout ce qui nourrit le terrorisme islamiste est immense. Ce sont eux qui sont les principaux fautifs. D’abord, de la dérive radicale de jeunes Français, issus de l’immigration, parce qu’ils n’ont pas eu le courage de leur dire “stop” dès les premiers signes de délinquance ou de radicalisation. Ensuite pour l’angélisme dont ils ont fait preuve dans l’administration de l’accueil des migrants. Et la complaisance de nos élites à l’égard des imams salafistes, des prières de rue, du financement des mosquées et des écoles coraniques, de la tolérance du voile et de la burqa dans l’espace public, de la mise en place du Conseil français du culte musulman et de son noyautage par les frères musulmans (classés terroristes par la plupart des pays arabes) a parachevé la déstructuration de notre Nation, déjà très endommagée par la culture gauchiste et l’idéologie post-soixante-huitarde.
Pour redresser la barre, il va falloir organiser une contre-attaque impitoyable envers tous ceux, y compris nos dirigeants, qui affaiblissent notre République. Pour seulement réhabiliter une de nos principales valeurs, la laïcité, le combat risque d’être très rude. Les quelques mesures de bon sens que l’on pourra prendre ne suffiront pas : c’est une véritable révolution culturelle des esprits qui doit s’opérer. La culture chrétienne, socle de notre théorie du vivre ensemble, a montré ses faiblesses et ses limites. Face à un islam arrogant et conquérant, la doctrine du “tu tendras l’autre joue…” ne marche pas ! On ne mène pas la guerre contre l’islamisme à coups de charité chrétienne.
On ne rétablira pas l’ordre avec des fleurs, des retraites aux flambeaux et des beaux discours.
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