Cette fois-ci, l’information ne provient pas de l’infâme « réacosphère » nauséabonde et adepte de la « désinfo », mais du journal Charlie Hebdo, ainsi que le révélait le sénateur Stéphane Ravier. Les prévisions de Jean Raspail, dans son chef d‘œuvre Le Camp des Saints, passent pur une aimable plaisanterie en comparaison de la réalité vécue en France, et plus généralement en Europe. Dans le numéro 1195 de Charlie Hebdo, est révélée une information, étrangement passée sous silence ailleurs : les Français pauvres doivent faire place nette aux immigrés clandestins.
« Sur l’aile droite du bâtiment, des bénéficiaires de l’Armée du Salut attendent, sur deux files, les repas du soir que leur sert quotidiennement l’association. Les militants du NPA n’ont pas jugé bon de les prévenir du déploiement. Il y a beaucoup de personnes âgées qui attendent, et qui très vite manifestent leur inquiétude à l’idée de devoir partager leur seule nourriture du jour, pour certains, avec la foire qui vient d’investir les lieux ; soit cent migrants pour deux ou trois cent sympathisants. Après avoir attendu plus d’une heure le visage enfoui sous un manteau (…), les bénéficiaires doivent quitter les lieux le ventre vide », peut-on lire dans le journal satyrique d’extrême gauche. Puis plus loin, « Environ une heure plus tard, ces derniers distribueront, dans la surprise, les repas préparés, mais en priorité aux migrants. »
Vous ne rêvez pas, les militants internationalistes et gauchistes du NPA ont privilégié des immigrés clandestins, en situations irrégulières et devant être expulsés, aux Français pauvres habitués de l’Armée du Salut. Par ailleurs, ils ont investi de force un centre associatif d’aide aux personnes modestes, le tout pour nourrir, et accueillir, des gens qui n’ont rien à faire en France. Il s’agit là de l’ignominie la plus totale qui se puisse concevvoir. Le crime est porté contre la France, et son peuple, par des militants du NPA qu’il convient d’appeler par leurs noms, c’est-à-dire des traîtres à la patrie. Les Français pauvres sont quantité négligeable, seul compte l’autre. Le proche est abandonné, humilié, méprisé, condamné à mort ; et à terme, peut-être, remplacé ?
Le gouvernement ne s’occupe pas de la France en « bon père de famille » (expression d’ailleurs disparue depuis peu du Code Civil), on peut dire, sans excès, qu’il est même coupable d’ « abandon de famille ». François Hollande, et Manuel Valls, comme hier Nicolas Sarkozy, livrent la France à la prédation barbare de l’immigration massive, et traitent les fils et filles de France en moins que rien. Si les droits de l’Homme imposent, à juste titre, d’accueillir convenablement les clandestins avant que de les expulser, ces derniers ne doivent en revanche pas bénéficier des droits spécifiques des citoyens, lesquels sont réservés aux personnes de nationalité française.
Pour conclure, et afin d’illustrer cet article, je vous invite à regarder une vidéo publiée sur le site de Contribuables Associés. Parfois, les images valent mieux que de longs discours. On peut découvrir dans cette vidéo, le cas dramatique d’une famille française, sans domicile fixe. Le jeune couple élève un magnifique bébé, mais a la malchance d’être composé de deux personnes de nationalités françaises, et ne bénéficie donc pas des aides accordées aux clandestins pour leur hébergement. Voilà ce qu’est la France en 2015: abjecte. Une élite de nomades, dont le terrain de jeu est le monde, devra bientôt répondre de ses forfaits.
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