On apprend que 1 400 enfants ont été victimes d’agressions sexuelles dans la ville anglaise de Rotherham entre 1997 et 2013. Des enfants âgés pour certains de 11 ans ont été battus et violés par les membres d’un réseau organisé. Trois rapports relatant les faits ont été rédigés entre 2002 et 2006 mais ils ont été ignorés par les responsables de la police et des services sociaux. Seules cinq personnes ont été arrêtées et condamnées en 2010 alors que le réseau était beaucoup plus important.
Comment est-ce possible ?
La peur d’une accusation de racisme a paralysé la réaction des autorités compétentes. En effet, les membres du réseau sont d’origine pakistanaise, qualifiés « d’asiatiques » dans la novlangue politiquement correcte. Cette particularité des criminels a bloqué une réaction normale des services sociaux et de la police. Des victimes ont bien déposé plainte mais les autorités ont minimisé les déclarations et même fait pression sur les victimes pour qu’elles se taisent.
Dans la municipalité travailliste de Rotherham, la cohésion de la communauté et la quête du « vivre ensemble » priment sur le respect de la loi et la protection des mineurs. L’antiracisme en paroles génère du racisme en actes. En effet, la race des criminels a permis la poursuite de l’ignominie pendant 16 ans. La réaction des autorités aurait été différente si les victimes avaient été des Asiatiques exploité(e)s par des blancs. Les travaillistes auraient réagi rapidement et ils auraient proclamé leur dégoût pour des actes pédophiles et racistes.
Mais les autorités de Rotherham ont préféré laisser des jeunes filles blanches en pâture à des étrangers plutôt que de réagir normalement. Les individus contaminés par le virus du politiquement correct se comportent comme des hippies gavés de substances hallucinogènes. Ils deviennent incapables d’une réaction appropriée face à l’ignominie. Leur antiracisme obsessionnel est une séquelle de la seconde guerre mondiale. Ils sont enchaînés au cadavre d’Hitler. Ils cultivent la haine de soi et le respect des autres. Ils vouent un culte absurde aux minorités et ils sont juste bons à ramper devant elles.
A côté de ces rampants dégénérés, il existe heureusement des hommes debout. Des hommes fiers de leur civilisation et de leurs racines ; des hommes qui ont une morale et leur dignité. L’avenir leur appartient.
23 Comments
Comments are closed.